Une plage pas comme les autres - Histoires de Sexe

Une plage pas comme les autres

... pénétra, sa queue était bien plus grosse, presque énorme mais il s’enfonçait en moi et j’adorai, je gémis encore et encore. Il me pilonna l’anus, je sentais sa queue aller et venir. Qu’elle était grosse ! De temps en temps, il ralentissait et je la sentais entrer et sortir sur toute sa longueur. Ouf ! Jamais je n’aurais imaginé me faire sodomiser de la sorte et j’appréciais cette sensation délicieuse difficile à décrire mais que rien d’autre ne pouvait remplacer. C’était au moment où je sentais que j’allais jouir que je m’aperçus que les deux autres étaient en train de me sucer, je me laissais aller, mon enculeur sentant la jouissance venir enleva lui aussi son préservatif et vint se placer devant ma bouche que j’ouvris sans me faire prier. Nous jouîmes en même temps, moi sur le visage de mes deux suceurs et lui dans ma bouche.

Nous finîmes tous les quatre par nous embrasser mêlant nos spermes nos langues et je décidais encore une fois de tout lécher et de tout avaler. Pendant que nous étions tous les quatre à baiser comme des fous, nous ne nous étions pas aperçus que plusieurs hommes étaient venus voir et se masturbaient ...

... devant nous, nous envoyant quelques giclées de sperme sur le torse ou sur les fesses et même deux téméraires étaient venus me présenter leurs queues juste avant de jouir pour que je les suce et que je prenne tout leur foutre dans la bouche. Ne m’en étant pas aperçu sur le moment je compris pourquoi j’en avais tant avalé mais quelle jouissance ! Ça sentait vraiment le sperme. Tous repartirent vers leurs serviettes tout en nous remerciant du plaisir partagé soit par un baiser soit par une caresse délicieusement bien placée.

Au bout d’un moment tout ce beau monde étant parti, nous nous retrouvâmes mon compagnon de baignade et moi, repus mais comblés. Je ne pus m’empêcher de caresser son torse velu de descendre vers son pubis tout aussi velu, toucher sa queue luisante de salive et de sperme remonter sur ses seins titiller leurs bouts. Nous nous endormirent tous les deux sous le soleil du midi en position de 69, moi avec un goût de sperme dans la bouche ; au réveil nous avions tous les deux la queue en érection, qu’elles étaient belles !

L’envie revenait aussitôt mais ça c’est une autre histoire… et cet été j’espère bien recommencer.