1. Jean-Jean


    Datte: 21/02/2020, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    Jean-Jean bourriquait la mère Suzanne.
    
    Comme tous les jours à cinq heures du soir, dans l'étable, appuyée contre la rambarde qui la séparait des vaches, la mère Suzanne offrait sa croupe à Jean-Jean qui la bourriquait avec une ardeur toujours aussi impressionnante même après trente ans de bourriquage en règle.
    
    Car ça faisait trente ans que tous les soirs vers cinq heures, Jean-Jean se pointait à l'étable après avoir été quérir les bêtes au champ, et que Suzanne l'attendait la, la chatte quelque peu moite à l'idée de ce quelle allait subir. Subir n'étant d'ailleurs pas le mot approprié, tant elle venait la de son plein gré se faire bourriquer par Jean-Jean.
    
    Et Jean-Jean ne se privait pas de bourriquer la mère Suzanne tous les soirs sur le coup de cinq heures, juste avant de se mettre à la traite des vaches, manière qu'il avait lui de se vider le pi dans le vagin accueillant de la mère Suzanne.
    
    Ils s'étaient donc connus trente ans plus tôt, le Jean-Jean gamin de l'assistance avait été placé à seize ans dans la ferme de Suzanne et de son mari le père Olive. A l'époque ils étaient dans leur trentaine et la belle jeunesse déjà un peu flétrie. Le père Olive avait fait deux gosses à Suzanne et il estimait avoir accompli son devoir, deux garçons solides qui allaient sur leurs neuf et onze ans. C'est que le travail ne manque pas sur une ferme et qu'on a pas le temps penser à la gaudriole. Et donc le père Olive négligeait la Suzanne qui n'en disait mot, car on ne parlait ...
    ... pas de ces choses la, mais qui ne s'en frottait pas moins l'entre cuisses à tout bout de champ, histoire de faire baisser la température dans sa culotte. Aussi quand on leur amena Jean-Jean tout droit sorti de la DASS, elle accepta avec enthousiasme tout en lorgnant le nouveau venu comme on lorgne une bête à la foire. Le père Olive lui, avait vu les bras du gamin qui allaient bien lui servir pour les travaux les plus fastidieux et les plus pénibles. Comme Jean-Jean n'avait pas inventé le fil à couper le beurre et que son QI frôlait les pâquerettes, il accepta avec enthousiasme le boulot qui lui ouvrait finalement les portes de la prison qu'il connaissait depuis son enfance un brin malheureuse et sans amour. La mère Suzanne eut tôt fait de prendre la mesure de son manque de tendresse, à seize ans Jean-Jean était gauche, un brin demeuré certes, mais gauche en plus, foncièrement timide, tordant son béret entre ses mains quand il se pointait devant elle pour réclamer du travail. Cette attitude plaisait bien à Suzanne qui le prit sous son aile, l'accompagnant dans son quotidien, lui apprenant les rudiments des travaux de la ferme. Le père Olive constatait chaque jour les progrès de son employé, il en savourait aussi le soulagement que cela lui procurait dans son travail, il avait presque le temps de flâner, pour un peu il aurait viré faignant.
    
    Mais la mère Suzanne voyait d'autres perspectives avec son Jean-Jean, une fois elle l'avait surpris en train de faire sa toilette et ma ...
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