Ce que l'on peut faire à trois a toujours un prix
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
extraoffre,
cocus,
handicap,
Auteur: Ceci n'a aucun intérêt, Source: Revebebe
... d’excellents rapports amicaux. Lui aussi a bu un sacré verre… Le dîner se termine tôt ; on s’amuse, on rit, et arrive l’heure de rentrer. Brigitte, qui est restée longtemps en compagnie de Laurent, propose à ce dernier de passer boire un verre à la maison ; il accepte, mais explique qu’il ne connaît pas le chemin pour s’y rendre. Brigitte se propose alors de l’accompagner dans sa voiture pendant que j’amènerai Eva et Alban à la maison, et nous prenons la route.
Arrivés à la maison, j’attends Brigitte et Laurent ; ils tardent à arriver. Il faut bien avouer que dans l’état où ils sont, il vaut mieux rouler doucement. Mes amis et moi nous nous installons à table, et je leur sers un bon verre de vin alors que moi je suis au Coca. Après une vingtaine de minutes, ils arrivent enfin. C’est vrai qu’ils sont dans un drôle d’état… Sans malice, je leur offre également un verre de vin ; l’ébriété augmente chez tout le monde. Je décide de partir conduire ma mère à l’aéroport. Je les salue et conseille à Alban et Eva de dormir à la maison ; ils sont d’accord et occuperont la chambre d’amis. Je me rends donc chez ma mère.
Arrivé chez elle, elle me demande si j’ai pris les films photo qui sont dans mon frigo. Je les ai oubliés. Étant en avance, j’explique à ma mère que je retourne vite à la maison les rechercher : j’ai le temps de parcourir trente kilomètres en roulant vite.
Arrivé à la maison, je me dirige vers le living où il y a encore de la lumière. J’ouvre la porte, et là, je ...
... découvre ma femme couchée sur la table, la jupe retroussée, le string à terre et Laurent pantalon et slip baissés occupé à faire minette à ma femme. Ils sont surpris : je n’aurais pas dû revenir. Laurent s’agenouille et se cache tandis que ma femme se relève prestement et saute sur sa culotte qu’elle remet en vitesse. Je ne dis rien et me dirige vers le frigo. Je prends les films en expliquant que je les ai oubliés et retourne directement à ma voiture en disant que je n’ai pas le temps. Brigitte me suit, la jupe relevée et le string mal remis dévoilent sa chatte. Elle s’approche de moi, mais je lui dis que je n’ai pas le temps. Elle s’excuse en pleurant. Je passe une main entre ses cuisses et découvre l’humidité qui y règne. Je lui dis seulement :
— On verra tout ça quand je serai rentré.
Alban et Eva, eux, étaient couchés. Je repars chez ma mère, lui donne les films, et comme si de rien n’était la conduis à l’aéroport sans parler de ce que je viens de vivre ; je ne veux pas lui gâcher ses vacances. En rentrant, je passe chez ma belle-mère, la réveille et lui demande où est mon beau-père : il est au travail. Ma belle-mère s’inquiète de mon passage ; je lui explique que sa fille a 48 heures pour partir de la maison sinon je la tue. Elle est ébranlée et me demande ce qu’il s’est passé ; je lui réponds qu’elle a juste à le demander à sa fille, puis je pars voir mon beau-père à son travail. Tenant le même discours, je lui dis qu’elle a 48 heures pour dégager.
J’ai disparu ...