Ce que l'on peut faire à trois a toujours un prix
Datte: 29/03/2018,
Catégories:
fhh,
couplus,
extraoffre,
cocus,
handicap,
Auteur: Ceci n'a aucun intérêt, Source: Revebebe
... une femme pour moi ou pour elle ; elle n’a pas été d’accord. Elle m’a expliqué qu’il n’y avait que Grégory, et qu’elle ne supporterait pas que je touche à une autre femme ou qu’une autre femme me touche. Vous comprendrez mon étonnement ! Il n’était plus question dans mon esprit de simple plaisir charnel, mais bien d’un désir de relation suivie avec une seule et même personne. Le fait que mon épouse soit jalouse d’une éventuelle partenaire m’était incompréhensible. Je pensais à l’époque à un couple ou à une sortie en boîte échangiste ; toujours est-il que l’ambiance à la maison n’était pas au beau fixe.
Au courant de la situation, Grégory vint à la maison après le tennis de table. Nous avons parlé ensemble de la situation en tentant de faire comprendre à mon épouse qu’il était anormal que les droits ne soient acquis que pour elle. À la suite de la conversation, les choses étant mises au point, je demandai à Brigitte de se mettre nue afin de prouver que je n’étais en rien fâché. Brigitte se déshabilla et tenta de se frotter à Grégory ; mais bien qu’elle se colle à lui et mis la main dans le pantalon pour prendre son sexe, il se refusa à elle et retourna chez lui.
Mon sentiment fut très mitigé. Je n’avais pas eu de plaisir particulier ce soir-là. Je me suis longuement interrogé quant à la position de ma femme qui acceptait qu’elle puisse faire ce dont elle avait envie, alors que moi, tout m’était interdit.
Je reste là sur une grande déception et une grande ...
... incompréhension de la jalousie que ma femme pouvait connaître, et l’inégalité de traitement au sein de mon couple.
C’est mon anniversaire ; nous le fêtons au tennis de table avec les autres équipes du club. Nous buvons et faisons quelques matchs entre nous. Même Brigitte joue ce soir-là ; d’ailleurs, elle se blesse à l’épaule ou au dos, je ne sais plus. Enfin, la fête terminée et tout rangé, nous décidons de prendre, comme d’habitude, le dernier verre à la maison. Comme c’est mon anniversaire, Grégory nous accompagne.
Il est deux heures du matin. On s’assied à table et on se prend une petite poire tout en discutant. Brigitte se plaint de la douleur à son épaule. Grégory se lève, se met derrière elle et commence à lui masser l’épaule. Comme on peut s’en douter, le tee-shirt gêne. Il le lui enlève et recommence son massage, mais il constate que la bretelle du soutien-gorge gêne aussi : il le lui ôte. Sa main descend devant et caresse le sein de Brigitte. Il lui masse plus les seins que son épaule, à présent, puis il se rassied et allume une cigarette. Brigitte, assise à ses côtés, passe sa main sur son pantalon pour tester la marchandise. Ravie de l’effet, elle descend ce vêtement et sort sa queue. Elle est bandée.
Brigitte se penche sur la table ; je lui remonte la jupe, lui descends ses bas et son string : la splendeur de ses fesses nous apparaît. Elle ne bouge plus. On lui caresse les fesses. Grégory humidifie sa cigarette au sexe de Brigitte avant de la porter à sa bouche et ...