1. Une Bordelaise bouleversante


    Datte: 21/02/2020, Catégories: fh, hagé, jardin, caférestau, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, confession, mélo, regrets, lieuxpubl, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... demi-érection. À quelques années de la soixantaine, je ne bande plus comme un jeune homme ; il me faut me sentir désiré pour être en pleine érection.
    
    Nous avons repris notre promenade tout en continuant à nous embrasser tous les vingt mètres. Nous nous sommes approchés du muret de pierre bordant le fleuve ; elle s’y est appuyée. Me collant contre son dos, j’ai agrippé l’ourlet de sa jupe, l’ai lentement remonté pour caresser ses cuisses. Elle me laissait faire, toujours passivement. Elle ne participait activement que lors de nos profonds et délicieux baisers, offrant ses lèvres, enroulant sa langue autour de la mienne.
    
    La fin de l’après-midi approchant, nous sommes retournés vers le parking du restaurant. Sur le chemin, nos mains se serraient convulsivement. Je la sentais beaucoup plus décontractée, plus proche. Depuis une bonne heure elle m’offrait de larges sourires.
    
    Arrivés à nos voitures, je me suis adossé à la sienne. Elle est alors venue se coller contre moi. Agrippant mon cou de ses doigts fins, elle a posé ses lèvres sur les miennes, ou plutôt elle a saisi ma bouche, a enfoncé sa langue et m’a embrassé encore plus profondément, plus fougueusement que durant notre promenade, dans une sorte de frénésie trop longtemps contenue. Elle s’est décollée de moi, m’a regardé les bras ballants. À mon tour je l’ai attirée contre moi, l’embrassant en pétrissant ses fesses, « son cul », comme elle me l’avait écrit. Je l’ai repoussée, fou de désir. Après quatre ou cinq ...
    ... secondes, elle est revenue contre moi, son bassin se frottant contre le haut de mon jean. À ce moment je réalisai que je bandais dur ; ma queue était emprisonnée, collée contre ma cuisse droite. Et le baiser a repris, avec une fougue certainement provoquée par notre départ.
    
    Sa voiture, contre laquelle nous étions, était protégée des regards par d’autres véhicules garés en épi sur le parking du restaurant. J’ai failli profiter de la situation : j’avais envie de la plaquer contre la portière, remonter sa jupe à la taille, sortir ma queue et la prendre debout ! Je n’ai pas osé… Peut-être m’aurait-elle laissé faire. Sentir pour la première fois son désir envers moi m’avait mis dans un état d’excitation exacerbée.
    
    Finalement, après un dernier baiser, elle est montée dans sa voiture, s’est assise au volant. J’avais sous les yeux les cuisses découvertes à la lisière des bas. Alors, d’une voix rendue rauque par l’excitation, je lui ai dit :
    
    — Ouvrez les cuisses, je veux vérifier quelque chose…
    
    En me souriant, elle a remonté sa jupe et écarté largement les genoux. J’ai faufilé la main entre ses cuisses, écarté le tissu de la fine culotte, et plongé deux doigts dans sa chatte. Elle était gluante de mouille, de jus de femme excitée. J’avais envie de la masturber, de la faire jouir. J’ai fouillé quelques secondes, récoltant un maximum de cyprine, puis porté les doigts à mes narines. Nous avons échangé un dernier baiser avant qu’elle ne parte.
    
    Le retour vers Toulouse fut ...
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