La guêpe (2)
Datte: 21/02/2020,
Catégories:
Transexuels
Auteur: G2345, Source: Xstory
... dans ce même pressing ; il y a des progrès et je trouve cela très bien ! Je ne te demande pas de me les rendre ; ils sont à toi et nous allons en acheter d’autres, car il te faut un trousseau de beau !
Elle s’avance vers moi, dirige sa main sur ma poitrine et s’assure que je porte bien le soutien-gorge qu’elle m’a donné ; il n’y a personne dans le couloir, elle dégrafe mon pantalon et s’assure aussi que j’ai gardé le collant et la petite culotte. Cela se passe très vite et personne ne voit rien. Nous échangeons ensuite deux longs baisers langoureux et un sourire radieux illumine nos deux visages.
Elle reprend:
— J’avais peur que tu ne sois disponible cet après-midi ; je suis ravie. Cela nous permettra de ne pas penser au travail que ce malotru nous colle sur le dos. Nous allons nous occuper de ton trousseau et pour cela nous irons dans les grands magasins des boulevards. Nous passerons aussi dans quelques sex-shops pour y prendre quelques accessoires, car il faut aussi s’amuser et se divertir pour être bien !
— Non, non et non, pas de sex-shop, je ne suis pas un pervers et je ne crois pas que cela procure beaucoup de plaisirs !
Elle me pince une joue et me dit:
— Tu n’as probablement jamais essayé, mais tu as très certainement entendu parler de tout ce que l’on trouve dans ces magasins. Tous les jours, nous voyons passer leurs colis et je ne parle pas des réclamations que nous avons eu à traiter concernant un envoi perdu, détérioré ou spolié !
Tout de ...
... suite après, nous avons gagné nos positions de travail qui étaient "préparatoires" à notre promotion. Nous connaissions bien Irène et François qui étaient des amis d’une quarantaine d’années, qui nous avaient aidés à faire nos premiers pas dans cette administration et qui plusieurs fois nous avaient reçus chez eux. A cette époque, la Poste entretenait un grand esprit de famille et cela faisait partie de son honorabilité et de son prestige ! Ils nous souhaitèrent bon courage et nous dirent de faire très attention et de nous méfier de ce chef de service qui avait, et nous l’apprîmes bientôt, des comportements méchants et blâmables surtout avec le personnel féminin.
Nous étions à présent prévenus, mais craintifs en même temps. J’ai dit à Thérèse que j’avais croisé, le dimanche matin, dans "ma tenue de Belle", ce mauvais larron, qui m’avait pris pour elle au moment où je suis rentré chez moi.
— Je comprends tout à présent, me dit Thérèse, il va essayer de faire avec moi tout ce qu’il a fait à Irène et il aura pour toi la même hargne comme il a fait à François ; mais ce grand imbécile ignore que j’ai deux oncles ; l’un est inspecteur principal à la direction et l’autre avocat au barreau de Paris. Il a tout intérêt à se tenir tranquille. Je sais aussi que tu es syndiquée ; je pense que si l’envie de jouer au c... avec nous lui vient à l’esprit ; il va prendre une belle raclée !
Notre première matinée de travail promotionnel où nous aurions dû être six au lieu de quatre et où ...