1. Pas de porte


    Datte: 21/02/2020, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, voisins, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, complexe, vacances, campagne, amour, intermast, Oral nopéné, fdanus, init, prememois, initfh, Auteur: Maria Del Toboso, Source: Revebebe

    ... couette.
    
    Je suis à la fois excitée et morte d’angoisse. Il me tient toujours par la main. J’ai envie mais je n’ose plus. Alors, très doucement, il me caresse le visage de la paume. Nos lèvres se rapprochent à nouveau. Nous nous étreignons. Mon ventre se heurte encore à cette barre mystérieuse mais dont la présence dissimulée me liquéfie de plaisir anticipé. Mais quel plaisir ?
    
    Je suis dans ses bras. Moi, j’ai passé les miens autour de son cou. Je lui laisse l’initiative. Que voulez-vous que je fasse, comme une gourde que je suis. Et puis nouvelle sensation. Celle de ses grandes mains qui arpentent mon dos. Ah ! Elles viennent de passer devant ! Il les a mises en coupe sous mon soutif ! J’en ai le souffle coupé ! Imaginer qu’on puisse me faire ça ! Ah ! Xavier, continue s’il te plaît… Ne me laisse pas… C’est sublime ! Il malaxe doucement mes gros nichons. Et ça me fait un bien fou !
    
    Je me mords doucement la lèvre, ma respiration se hache de soupirs tandis que mes yeux en perdition se vrillent dans son regard. Un bien-être indescriptible me saisit. Ses mains sont légèrement remontées et ses pouces lissent doucement le bout de mes seins. La sensation me submerge. Ma tête vacille.
    
    Alors doucement il me fait pivoter et se place derrière moi. Je sens sa « chose » qui se gîte au travers de nos pantalons entre les deux globes de mon popotin. Et ses mains qui viennent jouer les soutiens-gorge… Je m’appuie le dos contre son torse ; je bascule la tête à la renverse sur son ...
    ... épaule, ma pommette en appui contre sa mâchoire. Doucement, sa main gauche soulève mon T-shirt, pendant que la droite se glisse sur ma peau et vient à nouveau assiéger le contenu de mon soutif. Je lève les bras comme une danseuse flamenca, et je fais se rejoindre mes mains derrière son cou. La forteresse est abandonnée. La citadelle est ville ouverte. L’envahisseur peut agir à sa guise. Je me suis rendue !
    
    L’envahisseur profite de mon abandon pour me bécoter le visage pendant que ses mains arpentent mon abdomen autour de mon nombril et ma poitrine. Il me murmure :
    
    – On va essayer de te faire grimper aux rideaux… Laisse-toi aller, simplement…
    
    Je ne sais pas ce que veut dire « grimper aux rideaux », c’est la première fois que j’entends l’expression. Mais il m’a dit de me laisser aller. Comme c’est déjà ce que je fais depuis un moment, la suite n’est pas compliquée.
    
    Nous faisons face au lit défait. Je me tiens coite. D’une main, il me maintient contre lui. L’autre se glisse entre nous, dans mon dos. Avec une adresse qui me stupéfie encore aujourd’hui, je sens qu’il libère l’agrafe de mon soutif. Sous le poids de mes nichons, les bonnets s’affaissent et mes doudounes suivent. La main repasse en façade. Mais s’immisce cette fois-ci entre le coton et mes roberts. Chacune de ses paumes coiffe une de mes rondeurs. J’étouffe un petit hoquet de contentement.
    
    J’aime la chaleur de ses paumes sur mes seins. Il les masse, les presse, les remue, les caresse. Il brosse de la ...
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