1. Sophie et Laurence (5)


    Datte: 18/01/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: laulau68, Source: Xstory

    ... les pousser en arrière, afin qu’elle puisse les tondre facilement. Max se laisse faire paisiblement.
    
    — Belle paire, hein chérie ? Il est bien équipé ton beau mâle, tu vois je lui rase presque à blanc, afin qu’aucun parasite ne vienne se placer là. Et maintenant changement de position : je vais lui faire le fourreau.
    
    — Le quoi ?
    
    — Le fourreau, tu vois cette gaine de peau recouverte de poils où il rentre son sexe, tu vas voir on va le caresser un peu... et après et il va le sortir pour nous le montrer. “
    
    Je sens le rouge m’envahir le visage.
    
    — Tu veux dire que heu... tu vas lui caresser le sexe ? À un chien ?
    
    Son employé s’occupe d’une cliente à l’autre bout de la boutique, et n’entend heureusement pas notre conversation.
    
    — Bien sûr, et tu sais il faut aussi le masturber de temps en temps, sauf si tu lui prends une femelle. C’est cela dont je faisais allusion tout à l’heure... Alain n’a jamais voulu en entendre parler... ce n’est qu’un gros macho, un bon copain mais un bourrin un peu coincé, alors je m’en chargeais à chacun de ses passages ici.
    
    — Un bon copain ? Tu te le tapais avant qu’il ne déménage ?
    
    — Tu rigoles ! Surtout pas ! Ni lui, ni d’autres mecs non plus ! J’ai toutes les quéquettes que je veux ici, et j’ai Ben à la maison, un superbe Beauceron de quatre ans. Lui, si je rentre bourrée à trois plombes du matin, il me fait la fête et pas la gueule comme les humains, pareil si je ramène une copine pour la nuit.
    
    Elle me dit tout cela ...
    ... naturellement sur un ton humoristique, mais tout en observant avec attention mes réactions, la surprise, l’étonnement et une pointe d’excitation.
    
    — Je te choque ?
    
    — Heu oui, non, en fait je ne sais pas, non, je suis surprise surtout... et puis chacun fait selon ses désirs et ses fantasmes.”
    
    Elle détache la chaîne de Max et l’allonge sur le dos, lui passe une sangle sur le cou pour le maintenir calme et sans bouger.
    
    — Mais avec lui, me dit-elle, c’est plus par habitude que par réelle nécessité.
    
    Et enfin elle lui met des trucs entre la chaussette et la petite botte à chacune de ses pattes.
    
    — Tu vois avec ça, il ne te griffe pas, même s’il s’agite un peu ; j’en utilise souvent avec Ben quand on s’amuse en chahutant à la maison ! Je ne t’apprendrai rien en te disant que nous les filles on a la peau fragile, viens approche-toi.
    
    Elle me fait venir tout près, contre sa hanche, prend la tondeuse et le fourreau qu’elle commence à tondre délicatement, je pose main sur son épaule, et appuie mon menton dessus afin de bien observer son travail. Se faisant, je lui colle mon sein gauche libre de tout maintien contre le dos, elle me sourit, heureuse du contact.
    
    — Tu vois, il faut y aller doucement. Tu tonds et tu le caresses en même temps, il aime ça et ça détourne son attention du bruit de la machine.
    
    Doucement les poils tombent et la peau nue apparaît. Je passe ma main de l’autre côté, remontant près du cou et pose ma bouche directement sur la peau de Poppy, afin de ...
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