1. Dressage par petite annonce


    Datte: 20/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: michelemimi, Source: xHamster

    J’en crevais d’envie depuis longtemps mais, du fond de ma province, je ne voyais pas très bien comment je pourrais rencontrer le maître de mes rêves. Alors j’ai pris l’habitude de lire des récits et je me suis branlée en fantasmant sur les pires traitements.
    
    Le plus souvent, j’imaginais que j’étais reçue par un inconnu, aimable et très poli. Au début en tout cas, car très rapidement, le ton changeait et l’homme me soumettait aux pires sévices avant de me baiser comme une chienne...
    
    Ce fantasme, je le faisais tellement souvent que j’ai décidé de passer à l’acte. Et comme j’ignorais où trouver mon bourreau, je me suis décidée à passer l’annonce suivante:
    
    « Michèle 48 ans, docile désire ardemment être humiliée par Maître sévère. Je peux me déplacer. Je suis prête à tout.»
    
    Inutile de vous dire que les réponses furent nombreuses, ce qui me laissait un très large choix. J’ai fini par sélectionner cinq messieurs qui me semblaient à la hauteur de mes exigeances. Les trois premières rencontres furent hélas décevantes. Je commençais à désespérer lorsque j’ai enfin rencontré Alain. Au premier regard, dès qu’il a ouvert sa porte, j’ai su qu’il était celui que je voulais, celui qui pourrait tout obtenir de moi. Avec une politesse un peu froide, il m’a invitée à entrer, m’a offert un verre. Sa conversation était courtoise mais je savais, à son regard, qu’il me jugeait. Il avait déjà commencé son dressage, réfléchissant aux humiliations qu’il me ferait subir. Au bout d’un ...
    ... instant, il a posé son verre sur la table basse et m’a dit d’une voix sans réplique:
    
    « Bon passons à autre chose voulez-﷓vous ? Placez﷓-vous à quatre pattes. Ecartez bien les cuisses, cambrez les reins. »
    
    Il s’est levé avant d’ajouter:
    
    « Surtout je ne veux aucune protestation. Plus vous vous plaindrez et plus vous serez maltraitée, c’est clair ? »
    
    C’était clair en effet. J’étais bien décidée à garder bouche close. Je ne savais pas encore à quel point j’allais dérouiller. Alain a remonté ma robe sur mes fesses. Il a déchiré ma culotte. Avec la froideur d’un gynécologue, il a commencé à me tripoter le sexe, l’anus.
    
    « Vous mouillez petite salope. Vous aimez ? »
    
    « Oui Monsieur. »
    
    C’est à ce moment qu’Alain a commencé à me fouetter les fesses. Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler, mais malgré moi, de sourds gémissements m’échappaient.
    
    Puis, Alain a remplacé le fouet par une badine. Là, je me suis mise à pleurer, le suppliant d’arrêter mon supplice. Plus je protestais et plus il tapait fort, comme il me l’avait promis. Ce n’est que lorsque j’ai cessé de me plaindre, brisée par la douleur, qu’Alain a cessé ses coups.
    
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    Mes fesses étaient zébrées de traces rouges. Mais Alain ne voulait pas seulement me rougir la peau des fesses, il désirait également m’exploser du cul. Je l’ai compris dès que je l’ai vu sortir son gros membre.
    
    « J'vais te défoncer la rondelle salope ! Je ne veux pas savoir si tu aimes cela ou non, ni même si tu en a l’habitude. ...
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