1. Les malheurs de Clotilde Ch. 01


    Datte: 28/03/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... à être filmée et que c'est ta copie...
    
    - Mon dieu...
    
    Mon téléphone bip. C'est un message.
    
    - Greg, j'ai un message, je regarde et je te reprends.
    
    - D'accord.
    
    Je regarde donc mon message. C'est le maître-chanteur. « Un destinataire à reçu votre vidéo. Si vous ne rappelez pas d'ici quinze minutes, je l'envoi à un autre contact. Et ainsi de suite toute les quinze minutes. Si les flics sont là, ou si des amis à vous sont là, sachez que la vidéo sera envoyée par un ami à moi ». Je le lis à Greg.
    
    - Il le fera, ça on le sait maintenant. Ton autre choix c'est d'accepter. De payer et coucher avec lui et son ami. Tu n'as pas le choix si tu ne veux pas qu'elle soit diffusée.
    
    - C'est horrible...
    
    - Je sais, mais tu n'as que ces deux solutions. Moi, j'appellerais les flics. La vidéo, les autres l'oublieront. Même si certains te tourneront le dos.
    
    - Jeff ma quittera...
    
    - Oui, ça c'est certain.
    
    - Et Rudolf?
    
    - Rudolf te renverra sûrement, pas par ce qu'il verra. Ça il peut le comprendre, non, à cause de nos clients. Tu as les numéros de tous dans ton téléphone, eux, le prendront mal, ils exigeront ton renvois.
    
    Mon dieu, j'avais oubliée ça. Les clients. Je n'ai pas le choix. Il va falloir que je cède à ce salaud.
    
    - Greg, je n'ai pas le choix. Il va falloir que j'accepte...
    
    - Si tu veux conserver ta vie, oui. Mais dis-toi que tu va le vivre comme un viol. Ce que ce sera de toutes façons.
    
    - Je sais... Mais je ne veux pas tout perdre. Je vais le ...
    ... rappeler.
    
    - D'accord. Rappelle-moi quand tu veux, je viendrais te soutenir quand ce sera fini.
    
    On raccroche. Je regarde l'heure, il me reste cinq minutes. J'attends le maximum, puis j'appelle mon maître-chanteur.
    
    Sa voix robotique résonne de nouveau dans l'écouteur.
    
    - Allô?
    
    - C'est Clotilde, j'accepte votre offre. Je coucherais avec vous et votre ami...
    
    - Trop tard.
    
    - Quoi? Vous m'avez dit...
    
    - Je sais ce que j'ai dis. C'est l'offre que je t'ai faîtes qui est caduc.
    
    - Ah?
    
    Je me demande ce qu'il veut dire par là.
    
    - Je veux cinquante mille euros maintenant. Je veux ta chatte, ta bouche et ton cul.
    
    - Non, pitié, pas ça...
    
    - Si ça. Puisque tu discutes mon offre, je veux que tu deviennes mon esclave sexuelle, chez toi, pendant un mois. Jusque au retour de ta fille. A moi et à mes deux amis.
    
    - Vous m'aviez dit un seul...
    
    - Les choses évoluent, je te l'ai dis.
    
    Je reste sans voix. Il ne peut pas me demander cela. Le silence règne de longues minutes sur la ligne. Le temps que les mots de mon tourmenteur imprègne-bien mon cerveau. J'essaie de gagner du temps.
    
    - J'ai... j'ai combien de temps pour réfléchir?
    
    - Rien. Je te laisses encore deux minutes. Si tu ne m'as pas répondus d'ici là, je raccroche et j'envoie ton petit film à tout ton répertoire.
    
    Une envie de vomir m'étreint de nouveau quand je lui répond.
    
    - Oui...
    
    - Oui, quoi?
    
    - Oui, j'accepte.
    
    J'entends un petit ricanement au bout du fil.
    
    - Sage décision. Donc tu ...