1. Le jour pas sage


    Datte: 20/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Bleusymphonie, Source: Hds

    ... avec simplement son chemisier défait. Elle accueille avec un grand sourire. Je m’assoie à côté d’elle.
    
    « - Vas-y, raconte !
    
    - Quand il sonna à la porte, mon cœur ne fit qu’un tour. J’ai ouvert la porte. Il était là, devant moi, son regard était intrusif, comme s’il savait déjà. Mon regard discrètement se porta vers cette bosse moulée par son bleu de travail. Tout était bien là.
    
    - Qu’as-tu ressenti ?
    
    - Tu vas être content, j’ai senti aussitôt perler entre mes lèvres une douce humidité accueillante. Je pensais, toi je te veux fouiller le plus profond de mes entrailles.
    
    - Alors ?
    
    - Il est entré, nous avons échange quelques mots. Il s’est mis au travail. Sa tête s’est engagée derrière le meuble où se cache la prise téléphonique. Je me suis placée contre le mur où je pouvais observer ses fesses.
    
    - Laisse-moi deviner. Tu évaluais son potentiel de coup de rein !
    
    - Ben, oui ! Il me demanda si je pouvais lui faire passer le tournevis cruciforme qui se trouvait dans sa boîte outil derrière lui. Je le pris, et m’agenouillais à côté de lui, de telle manière que ma cuisse frôlait la sienne. Je lui tendais le tournevis. Nous étions tous les deux à quatre pates, un frisson animal me traversa de part en part. J’allais me faire baiser !
    
    - Ce n’était pas encore gagné !
    
    - Oh que si ! J’ai posé ma main sur sa cuisse, et j’ai remonté vers l’objet de mes convoitises.
    
    - Il n’a pas réagi ?
    
    - Pas un mot ! J’ai caressé son sexe à travers la toile, Il a laissé ...
    ... tomber ses outils de ses mains. J’ai baissé la fermeture éclair de sa braguette et devant mes yeux s’est déployé une longue hampe, pas encore totalement raidît mais si prometteuse ! J’ai commencé à activer ma main. Une manière de faire connaissance avec ce dard qui allait me pourfendre.
    
    - Petite salope ! ».
    
    Je bandais comme un taureau. Je dégrafais mon pantalon, pour libérer mon sexe turgescent.
    
    « - Tu m’excites ! ».
    
    - Attends la suite chéri. Ca va te plaire ! Il s’est relevé. J’avais son dard tendu sous les yeux, à portée de bouche. Mais il m’a pris par les épaules et m’a commandé de m’étendre en relevant ma jupe. Il s’accroupit, caressa ma cheville et remonta sans détours. Je me suis senti offerte comme une pute. Son doigt rustre glissa entre mes lèvres gonflées et embrumées de mon nectar onctueux et suave que tu aimes tant. Il s’est relevé, a descendu sur ses cuisses son bleu de travail, dévoilant son torse taurin et velu. J’avais devant moi, tendu, volumineux, engorgé, son membre aux dimensions hors normes. Je n’avais qu’une envie, qu’un désir, être pénétrée, écartelée, enfoncée. Je lui tendis le préservatif que j’avais placé dans mon soutien gorge. Il l’a enfilé avec dextérité. Il se pencha tout entier sur moi. Je nouais mes jambes autour de sa taille, ma croupe l’appelait, je le veux. Je n’étais plus qu’une vulve. Il s’est enfoncé en moi. Toutes mes parois le sentaient.
    
    - Caresse-toi, je veux te voir jouir ! Continue !
    
    - A chaque coup de rein, je me sentais ...