1. Esclave pour salauds - Zoran


    Datte: 20/02/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Steph24a, Source: Hds

    3 heures du mat.
    
    Le quartier du 93 où le mec m'avait filé rancard était carrément craignos. J'ai failli faire demi tour. Mais j'étais trop en manque, excité grave.
    
    Il m’avait levé sur un site spécialisé. Ce qu’il cherchait c'était un minet céfran, maso, pour le loper, l'utiliser comme défouloir, en faire sa pute, son esclave.
    
    A 24 ans, ça faisait déjà des années que je pratiquais le sm.
    
    Ado déjà, j'étais attiré par les Mâles, la soumission.
    
    J'ai commencé à me faire loper à 16 ans. De la soumission je suis passé au sm, avec des plans de plus en plus hard.
    
    Je me suis fait démolir par tous types de mecs, des jeunes, des vieux, des blacks, des rebeus.
    
    Mais jamais par un manouche.
    
    Zoran, il m'avait chauffé grave.
    
    Un rom, 25 ans, super bandant, avec une teub de 24 cm.
    
    Il m'avait prévenu que j'allais morfler, qu'il allait me foutre la misère.
    
    C'est ce que je voulais.
    
    J'ai appelé le 06 qu'il m'avait filé.
    
    Le squat où il m'attendait était au 5è étage. L'immeuble était délabré.
    
    Evidemment pas d'ascenseur. C'était encore plus glauque que le quartier lui-même.
    
    Au 5è , toutes les portes étaient défoncées, sauf une, entrouverte, d'où filait un rais de lumière.
    
    Je me suis foutu à oilp, comme il l'avait demandé. Il voulait que m'offre total nu dès mon arrivée.
    
    J'en ai profité pour me gazer à donf au poppers.
    
    La porte du squatt était solide, avec 4 verrous. Je les ai mis et j’ai rejoins Zoran, dans la seule pièce éclairée.
    
    Elle était ...
    ... comme le reste, des planches clouées qui masquaient les fenêtres, une vielle moquette tachée, trouée par endroits, le papier peint qui se décollait, une ampoule nue qui pendait du plafond. J’avais déjà fait des plans dans des endroits sordides, mais jamais à ce point.
    
    Zoran lui était encore plus bandant que sur ses tofs.
    
    Il m’attendait, en boxer, vautré sur un canapé, les jambes écartées.
    
    J’ai été direct m’agenouiller entre ses cuisses, pour embrasser, sniffer, lécher l’emplacement de son sexe.
    
    Il avait pas raconté de craques sur ce qu’il avait entre les jambes : le boxer suffisait à peine à contenir son pacson.
    
    Et son slob puait grave le Mâle, un mélange d’odeur de sueur, de pisse, de foutre.
    
    J’avais la queue raide.
    
    Très vite, j’ai senti la sienne durcir, gonfler, se tendre.
    
    Jusqu’à ce qu’elle jaillisse hors du slip, dressée, raide.
    
    J’ai voulu le prendre en bouche. Ça m’a valu une gifle.
    
    « J’t ai pas permis de sucer. Avant de goûter mon zob, va falloir que tu l’mérite, t’as pigé, la pute ? »
    
    « Oui, pardon »
    
    Nouvelle baffe, encore plus violente.
    
    « Et quand tu parles, tu dis Boss ou Maitre. Je sens que je vais devoir t’apprendre où est ta place. Les p’ti pédés comme toi, j’en ai maté d’autres. J’vais t’apprendre à ramper, tu vas morfler grave. J’suis pas une lopette comme les céfran qui te baisent d’habitude. Tu vas enfin savoir ce que c’est un Mâle. Et tu diras merci quand j’t’aurai cassé, compris ? »
    
    « Oui, Boss, pardon, Boss »
    
    Il ...
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