1. Des hauts et des bas


    Datte: 19/02/2020, Catégories: couple, extracon, toilettes, jalousie, miroir, photofilm, facial, Oral double, fsodo, confession, Auteur: Félix X elle, Source: Revebebe

    ... logique de petit couillon.
    
    À l’époque je n’avais vraiment pas compris à qui j’avais affaire. Elle m’expliqua que c’était une histoire longue et compliquée et qu’y mettre un terme n’était pas aussi simple que je semblais le croire. Quant à ma superbe théorie, elle était d’avis qu’il pouvait y avoir une grande différence entre sexe et amour. J’avais avalé la pastille avec difficulté. Ce propos lourd de sous-entendus m’avait plongé dans un désespoir absolu. Je n’aimais pas l’idée, mais j’étais jaloux. Est-ce qu’elle voulait dire que d’un côté il y avait lui, son amour, le truc important et pas simple à gérer, et de l’autre côté il y avait moi, entre autres, éventuellement pour le sexe ? Je lui ai demandé ce qu’elle attendait exactement. Elle m’a dit du temps, un peu plus de compréhension et d’ouverture d’esprit.
    
    Ça m’avait tout de suite refroidi. Je l’avais trouvée un peu trop directe à mon goût délicat. Quand, un mois plus tard, elle m’a fait comprendre qu’elle avait beaucoup apprécié ces deux jours passés chez moi et qu’elle m’a demandé s’il était possible qu’elle revienne, j’ai hésité. Mais quand elle a précisé qu’elle avait enfin rompu, j’ai arrêté d’hésiter. J’avais eu beaucoup de chance qu’une belle femme comme elle s’intéresse à moi. On ne se ressemblait pas beaucoup. Elle savait ce qu’elle voulait et comment l’obtenir.
    
    Lors de sa deuxième visite, elle m’a presque fait peur. Elle a vite pris la direction des opérations et je la revois marchant devant moi dans le ...
    ... couloir qui menait à ma chambre. Je revois son copieux derrière bien moulé dans son pantalon de toile kaki. La machine infernale ! Ça roulait et ça tanguait de tous côtés, mais c’est moi qui faillis chavirer. Je revois encore comment elle s’était arrêtée brusquement pour que je me retrouve collé à elle. Contre sa croupe. Comment elle s’était cambrée pour se plaquer le cul sur mon jean. Et je revois surtout comment, telle une femelle en rut ayant abandonné toute décence, elle s’était mise à se frotter la raie des fesses sur ma queue. En quelque sorte, elle préparait le matériel avant utilisation. Karen avait aussi l’esprit pratique.
    
    Quel cul elle avait ! J’ai retrouvé une photo d’elle que j’avais prise ce jour-là. Elle est de dos, assise sur un tabouret. On est forcément impressionné par cette demoiselle fessue et naturellement cambrée. Son postérieur dodu, débordant, mais ferme, gonfle le tissu de façon scandaleuse. On a immédiatement envie de le prendre à deux mains pour tout secouer avant de plonger là-dedans tête la première. C’est à se damner.
    
    Encore estomaqué par son comportement obscène dans le couloir, pour la première fois je l’avais baisée. Mais je l’avais baisée comme j’avais pu, maladroitement, timidement, sans cesser de me demander si pour elle, à ce moment-là, il s’agissait de sexe ou d’amour. Ça me turlupinait vraiment cette question, parce que j’étais un peu fleur bleue à l’époque et là j’étais tombé sur une personne radicalement différente. Je m’étais un ...
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