1. L'âge ne fait rien à l'affaire...


    Datte: 19/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Peden, Source: Hds

    ... était sombre, mais le parfum dominant était une odeur de sueur, de corps, de corps d’hommes ou de corps de femmes ? Sa libido reprit les commandes de son cerveau et, sans pouvoir rien voir, il se déplaça lentement, les mains en avant, à tâtons.
    
    Sa main toucha un mur, puis un corps. Etait-ce un homme ou une femme ? En tout cas un corps consentant à la caresse, puisqu’aucune main ne repoussa la sienne. Bon, il lui fallait s’assurer du sexe de l’inconnu, en espérant que ce fût une inconnue, sinon, tant pis pour lui… Son doigt rencontra un pubis rasé, sans excroissance virile… Ouf ! Décidé à ne pas laisser traîner les choses, il enfonça gaillardement un doigt dans la fente qui s’offrait à lui, et qui était, curieusement, bien lubrifiée… Comment cela se faisait-il ? Un autre (une autre ?) aurait-il joué les boute-en-train ? Son autre main monta à la rencontre des seins de la dame… et trouva deux seins, presque vides, plus proches du gant de toilette que de l’obus fracassant… Zut … il était retombé sur la vieille de la civière. Le côté positif de la chose, c’est qu’elle s’était levée du brancard, et donc qu’elle n’était donc pas impotente. Oui, mais tout de même…
    
    Jérôme décida d’entreprendre rapidement une manœuvre de retraite, plus stratégique qu’héroïque, mais avant qu’il ne pût retirer son doigt du con de la dame, une main de celle-ci s’empara de sa verge et la retint, avec douceur et fermeté, la pressa délicatement pour en saluer la raideur. L’extrême douceur de la ...
    ... caresse le surprit. La dame savait y faire… elle alliait la suavité à l’expérience… Jérôme commençait à hésiter… devait-il se retirer ou la laisser faire ? Cette femme n’était plus un tendron, certes, mais elle semblait bien connaître le corps des hommes et il n’était plus très certain d’être invité par d’autres joueuses… Et puis, une partie de son corps commençait à bougrement aimer cette caresse et lui enjoignait de rester. « On sait ce qu’on a et on ne sait pas ce qu’on pourrait avoir… » Le majeur qu’il avait enfoncé dans le ventre de la femme reprit son activité, puis fut aisément rejoint par l’index, puis par l’annulaire, puis par le pouce et l’auriculaire (merci le gel lubrifiant !). La main bien enfoncée dans le vagin de la femme (sa maîtresse ?), il se mit à y remuer ses doigts, surprenant Ghislaine par cette caresse jusque-là inconnue d’elle, qui se voyait enfilée sur le bras que l’homme enfonçait dans son ventre. Jérôme regardait son poignet dépasser du vagin que la femme ouvrait à son envahisseur, et remerciait celui-ci par des hoquets, par une respiration de plus en plus saccadée. La main de Ghislaine était toujours aussi légère sur la queue qui pointait contre son ventre. A bout d’excitation, Jérôme décida d’en finir : il prit sa chose en main et la présenta devant le canyon béant que sa main venait d’abandonner. Il prit dans ses mains les fesses de Ghislaine pour la soulever et s’enfonça dans le ventre de la femme, qui releva ses jambes dans le dos de son amant pour ...