1. Un service


    Datte: 19/02/2020, Catégories: fh, fhh, cocus, Collègues / Travail boitenuit, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... reprends :
    
    — Bon, ce n’est pas le tout, je vais préparer le dîner.
    
    Mais à peine avais-je mis le tablier que mon mari est venu se plaquer contre moi.
    
    — Par contre, si tu enlevais tout et gardais juste le tablier, je te montrerais que je n’ai pas besoin d’un autre.
    
    C’est le côté positif des lectures et explorations par le web de mon mari. Depuis quelque temps, il me sollicite souvent. On retrouve nos découvertes du début de notre mariage. Faire l’amour partout dans l’appartement, en voiture, en forêt allant même à nous mettre en péril d’être surpris.
    
    J’obéis, bien sûr, et me voici juste habillée d’un tablier assez court, style soubrette. Lui aussi se met nu. Il bande déjà. Je fais ce qu’une soubrette doit faire. Je m’agenouille devant mon patron et m’occupe de sa verge. Celle de Charles n’est pas très grosse. J’ai oublié celles de mes aventures avant mariage, mais les mecs dans les vidéos que j’ai vues sur les sites sont tous bien plus gros. Mais la queue de mon mari me suffit. Mieux, comme elle n’est pas trop longue, j’arrive à presque lui gober entièrement et ça, je n’ai pas oublié combien les hommes aiment voir leur bite disparaître dans la gorge d’une femme. Je le suce. Je le pompe. Je le lèche. Ses bourses roulent sous ma main.
    
    Et puis il me fait lever, me tourne, me pousse pour que je m’appuie sur l’évier, face à la fenêtre.
    
    — Charles, la lumière. On pourrait nous voir.
    
    La nuit commence à tomber et notre cuisine donne sur la cour intérieure comme ...
    ... beaucoup de notre immeuble.
    
    — Il n’y a personne. Regarde, c’est éteint.
    
    Je n’ai pas le temps de protester que de l’autre côté ils ont encore un peu de jour et qu’ils allument plus tard, que sa queue déjà m’envahit. Déjà son ventre est contre mes fesses. Mes seins lourds qui pendent découvrent le froid de la céramique alors qu’il me fait pencher un peu plus.
    
    C’est bon. J’aime les préliminaires, mais quelquefois c’est délicieux de se faire prendre « à la brutale ». Charles se baise sa soubrette. J’imagine que ce scénario, dont il ne m’a jamais parlé, mais que le choix de ce tablier peu pratique qu’il m’a offert récemment, participe à son fantasme.
    
    Et ce n’est pas désagréable de se faire culbuter ainsi. D’une certaine façon cela me ramène sur terre après des heures et des heures de DRH qui se doit d’être toujours parfaite et imperturbable.
    
    Il me bourre. Mon corps épouse le meuble. Je sens les poignées des portes me marquer les cuisses. Cette petite douleur participe à mon plaisir. Chaque avancée est d’une profondeur parfaite. Chaque clapotis de ma mouille doit l’exciter comme elle me trouble.
    
    Et puis il se retire et déjà son gland frappe à mon petit trou. Ce soir, manifestement, il veut se finir dans mon cul. Parfois c’est entre mes lèvres et je déguste sa semence jusqu’à la boire avec toute la perversité dont je suis capable. Oh, pardon, dont une soubrette est capable.
    
    Mon cul est à mon mari depuis longtemps. S’il ne m’a pas déflorée, déjà beaucoup de mecs ...
«12...567...20»