1. Sous la serre


    Datte: 18/02/2020, Catégories: fh, extracon, jardin, pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    ... d’être pète-sec, dame Ludivine est loin d’être une personne captivante. À part ses séances hebdomadaires d’aquabiking et de fitness, son goût immodéré pour les fringues hors de prix et les restos étoilés, et son désir permanent de se retrouver sur des plages au sable fin à l’autre bout du monde, elle ne s’intéresse pas à grand-chose. La littérature, elle s’est arrêtée à Marc Levy ; la musique, ça l’énerve ; le cinéma, elle s’en fout ; la politique, tant que le blé rentre à la maison, ce n’est pas son problème.
    
    Déjà une heure que je suis chez eux. J’ai eu le temps de boire deux tasses de thé tout en regardant la plupart du temps les mouches voler. Je dis bien la plupart du temps, car je jette quand même de furtifs coups d’œil sur ses cuisses qu’elle croise et décroise face à moi. Elle me parle de leurs vacances récentes aux Maldives et me demande soudain si je veux jeter un œil aux photos sur leur ordinateur. Bien sûr que je n’en ai rien à carrer de leurs souvenirs de vacances, mais bon, il faut bien que je fasse bonne figure avec belle-frangine.
    
    Elle m’entraine donc dans le bureau de son mari au premier étage. Nous nous installons côte à côte, sur deux chaises devant le pc, et elle commence à faire défiler le diaporama. Les photos sont plus conventionnelles les unes que les autres, c’est chiant, mais un détail soudain me perturbe : tout le long de la séance de visionnage, assis l’un à côté de l’autre, nos genoux s’effleurent, se frôlent, nos cuisses se touchent ...
    ... parfois. Ce doit être la première fois que nos corps sont en contact (à part pour la bise), et ce rapprochement involontaire me colle une belle barre dans le pantalon, comme si ces effleurements étaient aphrodisiaques.
    
    Puis, sur l’écran, sans crier gare, arrive une photo : Ludivine de dos, debout sur la plage, en mini-monokini, ce qui me permet de jauger son joli petit cul bombé. Elle semble embarrassée, et s’empresse de passer à l’image suivante. Je ne peux empêcher unton fessier est d’une élégance à toute épreuve de sortir de ma bouche.
    
    Elle ne me regarde pas, rougit un peu, et murmure unmerci presque inaudible. C’est la toute première fois que je la sens déstabilisée, fébrile. J’ai une gaule terrible qui déforme mon pantalon, j’ai l’engin raide comme jamais. On reste assis, figés l’un à côté de l’autre alors que le diaporama se termine. Je sens son regard sur ma bosse, même si elle essaie de ne rien laisser transparaitre, je lis son émoi. Elle se lève soudain, et me dit :
    
    — Bon, allons voir ce que nos enfants font dans le parc, casse-cou comme ils sont…
    
    Nous marchons dans le jardin majestueux, elle m’emmène dans la serre pour me montrer ses plantes tropicales, ses niches d’orchidées, et les toutes récentes pousses de son bananier. Son jardinier fait un super boulot, tout est très harmonieux.
    
    C’est étrange, mais elle est beaucoup moins antipathique qu’à l’accoutumée. Elle serait presque aimable pour une fois. Il est vrai qu’on n’a jamais eu l’occasion auparavant de ...
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