Le costume neuf
Datte: 18/02/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
magasin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
Auteur: Otello8, Source: Revebebe
... Effectivement, lui dis-je, mais le pantalon est un peu long, non ?
Elle se saisit de ses épingles et se baisse pour ajuster les ourlets, j’en profite pour lorgner sur ses seins que j’entrevois à travers son décolleté, ils sont gros et ronds et gigotent à chacun de ses mouvements. Je ne manque rien de ce spectacle et des idées me viennent vite à l’esprit car sa tête vient toucher mon sexe, tellement elle se penche. Je finis par avoir un début d’érection et tente désespérément de reculer mon bassin pour ne pas qu’elle s’en rende compte.
— Ne bougez donc pas comme cela, sinon je n’y arriverai jamais, me dit-elle.
Je reste donc immobile, essayant de me calmer en pensant à autre chose, mais sans résultat. Plus je me concentre, plus mon sexe grossit, et je suis sûr qu’elle s’en est rendu compte. Elle continue à frotter sa tête tout en passant les épingles et moi je bous. Je me lâche et bande maintenant franchement, et c’est comme un soulagement, je ne lutte plus. Elle relève la tête et me sourit tout en passant la main sur mes cuisses pour ajuster le tissu, puis elle passe deux doigts derrière le bouton du pantalon, tire légèrement dessus pour vérifier la taille, laisse ses doigts effleurer mon sexe à travers la braguette.
— Voilà, c’est fini, vous pouvez bouger maintenant… enfin, je veux dire vos jambes.
Ne sachant comment réagir, je la remercie et me tourne devant le miroir pour me regarder.
— C’est bien je le prends. Vous faites les ourlets ?
— Eh bien, ...
... d’habitude non, mais j’ai du fil et des aiguilles dans l’arrière boutique et, comme les clients ne sont pas nombreux, je veux bien vous les faire, suivez-moi.
Je l’accompagne dans l’arrière-boutique, l’aide à repousser les cartons pour faire de la place.
— Il faut l’enlever sinon je ne pourrais pas coudre, me dit-elle d’un air malicieux.
Je me rends compte que je ne suis pas repassé par la cabine pour me changer, et, tentant le tout pour le tout, j’enlève le pantalon, là, devant elle. Ses yeux ne quittent pas mon entrejambe. Je m’installe sur une chaise et elle passe derrière un bureau, nous nous faisons face. Elle commence à coudre, à la main, cela va bien durer vingt minutes. Nous ne parlons pas, elle coud avec application et jette de temps à autres des regards vers mon sexe. Moi, je suis là, à fantasmer sur ces deux gros seins, à m’imaginer les palpant, les suçant. Je bande et ne fais rien pour le cacher, au contraire, j’écarte même légèrement les jambes pour qu’elle puisse encore mieux voir. Moi qui suis plutôt timide et pudique d’habitude ! Je la fixe maintenant droit dans les yeux car ses regards se font de plus en plus fréquents mais elle continue à coudre, consciencieusement.
Les minutes passent et je ne pense qu’à une chose : téter ses gros seins. Mon cerveau est déconnecté et mon sexe a pris le relais, mon sang ne monte plus dans ma tête, il n’afflue plus que dans ma verge pour la garder toute dure.
— Voila c’est fini, me dit-elle en se relavant.
— Déjà ? ...