Les cousines (1)
Datte: 17/02/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: chousinga, Source: Xstory
... profiter des sensations délicieuses que lui procurent les caresses de sa partenaire. Je me poste donc entre les jambes de ma femme et, dans un même geste, je l’empoigne par les hanches et lui enfonce ma trique dans la chatte jusqu’à la garde.
Surprise par cet assaut, elle tourne la tête et me reconnait avec un grand sourire, sans dire un mot. Elle entame alors des mouvements ondulants du bassin et les parois serrées de son vagin se mettent à pomper ma bite avec vigueur. Pendant ce temps, elle n’a pas cessé d’agiter son gode dans le sexe de Maud qui n’a rien remarqué et continue donc de profiter de ses bienfaits.
Je pénètre maintenant Isa en levrette au plus profond de son intimité pendant qu’elle reprend le léchage du clito de Maud. Je lui donne des grands coups de reins, ma pine vient buter à chaque mouvement contre son utérus et mes couilles battent contre ses fesses à un rythme de plus en plus soutenu. Contrairement à ma femme qui n’a pas l’air d’avoir trop souffert de mon absence, je sens que l’abstinence que je me suis imposée pendant trois semaines va me jouer des tours et que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
Et, de fait, au bout de quelques minutes de ce manège, je commence à ressentir dans le bas de mon ventre et dans mes couilles les picotements annonciateurs de l’orgasme. D’un seul coup, je me raidis en m’enfonçant le plus loin possible et je lâche tout mon foutre en longs jets brûlants dans le ventre de ma femme. Ce moment d’extase dure ...
... délicieusement longtemps et le corps d’Isa est traversé de soubresauts qui me vident de mes dernières goutes de sperme. Elle émet un long soupir et serre tous les muscles de son vagin pour retenir mon sexe prisonnier le plus longtemps possible.
En même temps, elle a transmis dans le gode toute la fougue de mes coups de boutoir ce qui provoque chez Maud un orgasme d’une violence inouïe, exactement en même temps que le mien. Elle hurle son plaisir en cabrant tout son corps ce qui fait jaillir ses seins. Tout son être est pris de tremblements qui semblent ne jamais devoir cesser et sa chatte laisse jaillir des flots de cyprine qu’Isa lèche avidement. Sa jouissance décuple la mienne et celle de ma femme.
Au bout d’un moment, chacun émerge de la plénitude de son plaisir et ce n’est qu’à cet instant que Maud s’aperçoit de ma présence. Contrairement à ce que je craignais, elle ne semble pas s’en offusquer. Au contraire, elle me regarde droit dans les yeux et me fait "Merci" du bout des lèvres. Je me retire alors du fourreau brûlant d’Isa d’où ressort tout mon foutre par giclées épaisses.
Epuisés par tant de jouissance, nous nous allongeons côte à côte sur le grand lit, moi au milieu, Maud à ma gauche et Isa à ma droite.
Après avoir récupéré un peu, je me sens envahi du désir de connaître le corps de Maud que je n’ai jamais touché. Nous n’avons pas encore dit un mot mais, manifestement, mon interruption dans leurs ébats n’a pas l’air de lui avoir déplu. Je me décide donc à ...