L'invitation d'Adeline - Histoires de Sexe

L'invitation d'Adeline

... bonshommes sans vraiment les laisser nous toucher. Tout nos mâle sont en chaleur et n'ont qu'une envie, nous sauter comme les chiennes que nous sommes. Lors d'un des arrêts, nous poussons même le bouchon plus loin en nous caressant devant eux et en nous embrassant langoureusement.

Pour l'arrêt du midi, nous nous arrêtons un coin isolé prés d'une cascade. Comme il fait chaud, sans aucune pudeur, Adeline enlève le haut de sa combine et exhibe devant tout les motard sa jolie poitrine pour se dorer au soleil. Alain me glisse à l'oreille :

« C'est une belle allumeuse ta copine. Pourquoi ne la rejoins-tu pas qu'on se rince l’œil avec deux belles salopes ? »

Ni une ni deux je me retrouve totalement nue aux côtés d'Adeline qui affiche un large sourire en me voyant dans le plus simple appareil. Les mecs nous sifflent et Eric exhorte sa femme à en faire de même. Par provocation, nous commençons à nous gouiner devant leurs yeux ébahis. Les mecs ont sorti leurs queue et sont prêt à nous sauter dessus. C'est pas l'envie qui nous en manque mais l'une comme l'autre nous avons envie de jouer avec eux pour que le bouquet final soit hors du commun. Au moment fatidique, nous remettons nos cuir en laissant un décolleté profond et comme de si rien n'était, nous leurs lançons :

« il serait temps de nous restaurer si nous voulons continuer ! »

Nos hommes frustrés et dépités acceptent en maugréant. Aprés nous être restaurés, nous

Nous reprenons la route et je n’arrête pas de ...

... penser au moment ou nous allons nous faire saillir. A force de les chauffer, ils vont être de vraies bêtes furieuses.

En fin d’après midi, nous faisons une dernière halte dans un coin idyllique et perdu en pleine montagne. Nos mecs sont chaud bouillant et nous aussi. Nos bouches sont prisent d'assaut et les mains se font baladeuses par dessus nos cuirs. Nos langues dans leurs bouches sont actives. Nous palpons sous leurs combinaisons des queues raides et prisonnières de leurs carcans. Leurs mains et leurs bouches nous mettent dans un tel état que nos combardes n'ont pas besoin d'être graissées. Les mecs sont si excités qu'il se chamaillent pour prendre qui un un seins, qui une bouche, qui une chatte. Adeline dans un miaulement me dit :

« Quel chance que tu sois venu avec tes amis. »

Ils continent un bon moment à nous peloter aux travers de nos cuirs. Les sensation sont merveilleuses et nous nous laissons porter par la ferveur ambiante. Nous miaulons et ondulons sous leurs caresses de plus en plus appuyées et intimes. Je ne rêve que du moment où ils vont nous mettre à poil pour nous sauter. Des queues se frottent contre nos fesses. Des mains font glisser le zip de nos combis. Nous avons les seins à l'air et ils s'activent dessus en les malaxant et en pinçant plus ou moins durement nos mamelons fermes d’excitations.

Les mecs se dé-poilent exhibant leurs queues bandantes comme des ânes.

Des mains se glissent sous nos combi largement ouvertes maintenant et fouillent nos ...