1. La piscine de papa (1)


    Datte: 17/02/2020, Catégories: Hétéro Auteur: MasterLola, Source: Xstory

    ... ayant été une femme, je n’avais plus sucé de pénis depuis des mois et cela m’avait manqué.
    
    Julio poussait de petits gémissements tandis que j’enfonçais sa bite au plus profond de ma gorge, manquant même de m’étouffer. Cet enfoiré bandait comme un taureau, ce qui ne me déplaisait pas. Il agrippa soudain ma tête, afin de diriger lui-même mes va-et-vient. Il baisait ma bouche, ses couilles frappant mon menton avec vigueur. Je lui étais totalement soumise, ne parvenant plus à contrôler mon amant qui prenait un plaisir intense à se faire sucer.
    
    Au bout de quelques minutes, il retira sa queue pleine de salive de mes lèvres, et la masturba.
    
    — Oh oui vas-y, éjacule-moi dessus ! lui grognais-je alors.
    
    Je ne souhaitais plus qu’une chose : recevoir son sperme sur mon visage, et sur mes seins ! Mais malgré l’énergie qu’il déployait à se branler de plus en plus fort, il ne parvint pas à jouir. Je me décidais donc à le masturber moi-même. Je tenais sa grosse bite entre mes doigts de fée, le fixant de la manière la plus perverse qui soit. Lui fermait les yeux pour décupler ses sensations.
    
    Plus je regardais son engin, plus que je me disais qu’il serait dommage de ne pas me faire pénétrer par lui. Je fonçais donc dans le casier de mon père, où je savais que celui-ci conservait un paquet de préservatifs, et en volais un. A mon retour dans la cabine, j’étais complètement nue, m’étant débarrassée de mon maillot en chemin, et Julio était allongé par terre, la bite fièrement ...
    ... dressée, n’attendant qu’une chose : que je le chevauche. Après lui avoir enfilé la capote, je vins me planter sur son mât.
    
    Son sexe si épais dilatait mon vagin, et mes lèvres l’agrippaient comme pour l’empêcher de ressortir de mon trou. J’adorais la façon dont il me pilonnait la chatte avec tant de violence, mais aussi tant d’amour. Je n’avais plus ressenti cela depuis longtemps, la fin de ma précédente liaison ayant été très pauvre en sexe. Pourtant, j’étais le genre de salope qui adorait se faire baiser, qui avait besoin d’assouvir sa libido débordante. Une facette de ma personnalité que je cachais bien évidemment à mon père.
    
    — Oh, ce que t’es bonne, bébé, je vais jouir ! me dit-il en me caressant les cheveux et le bas du dos.
    
    Je refusais toutefois de quitter sa bite qui me plaisait tant ! Et puis, après tout, il portait un préservatif donc il n’y avait aucun risque qu’il me mette enceinte. Je sentis néanmoins son foutre se répandre dans le latex de la capote, et regrettais presque de ne pas l’avoir englouti moi-même. Le rythme de ses secousses diminua nettement après son éjaculation, et je me décidais donc, à contrecœur, à me retirer de lui.
    
    Notre coït n’avait duré qu’une demi-heure, ce qui n’était pas un mauvais temps pour une première fois. De plus, un rapport trop long aurait sans doute éveillé les soupçons de mon père. Nous nous embrassâmes une dernière fois avant de nous rhabiller en silence. Puis, au moment de fermer les portes du centre, Julio s’adressa à ...