1. un chien qui s'ignore-- FIN


    Datte: 17/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Anal Auteur: perver38, Source: xHamster

    ... apeuré.
    
    La caisse se mit à bouger à tourner. Je fus chargé dans un véhicule. Les portières claquaient et le véhicule démarra.
    
    Mes bras immobilisés dans le dos me faisaient déjà mal. Avec les chocs de la route, mon collier rentrait dans mon cou. Je sentais un liquide couler de mon cul ouvert, dégouliner sur mes couilles et mes cuisses pour finir sur la paille. Je pissais également sans pouvoir me retenir, vu le traitement des sphincters que j’avais subi.
    
    Le véhicule s’arrêta enfin et manœuvra. Des discussions avaient lieues. Ma caisse fut finalement déchargée et placée dans un entrepôt. Par un défaut du bois, je voyais plusieurs personnes s’activer autour de la caisse. Quelqu’un ouvrit la caisse côté visage. Deux blacks me regardèrent avec le plus grand sérieux. Ils m’inspectèrent les dents, les yeux, la langue. L’un enfonça ses doigts dans la bouche le plus loin possible et fit des allers retours. Un grand sourire apparut sur ses lèvres.
    
    ‘Ok ma belle, je te prends ta putain pour 1500€, comme conclut’
    
    Une enveloppe circula, les billets furent comptés. Le deuxième black sorti un bâillon boule gonflable de sa poche.
    
    ‘Le bateau arrivera que demain matin, on doit être discret pour cette nuit‘
    
    ‘La pute ne fera aucun bruit, ses cordes vocales sont mortes’
    
    ‘OK, bien joué ! Mais je vais lui mettre quand même, une bonne pute doit toujours avoir la bouche pleine’
    
    J’ouvrais la bouche docilement, un peu déçu qu’ils ne testent pas mes dons de pompeuses de ...
    ... bites et accueilli le bâillon.
    
    Le black se fit un plaisir de la gonfler au maximum, les joues dilatées et vérifia ma bonne respiration par le nez. La porte se referma, maitresse Ophélie me fait un clin d’œil et remit les vis.
    
    Je ne la revis plus jamais.
    
    Le lendemain matin, la caisse fut hissée dans un bateau, j’entendais parler arabe. Je relevais plusieurs fois le nom de Nouakchott, capitale de Mauritanie. Maitresse Ophélie avait dit la vérité !
    
    Je n’entendis plus jamais parlé de ma femme, pute de chantier désormais.
    
    Je fus charrié par bateaux, puis par 4 x 4 à travers le désert. Mes guides me permirent de respirer librement en ouvrant la caisse et je fus autorisé à boire leur urine et avaler leur sperme pour m’hydrater. Par contre aucune saillie ne me fut offerte.
    
    Je fus finalement descendu de la caisse à coup de triques. Des discussions eurent lieu. Des salutations. Je fus à nouveau confié à d’autres personnes. Ils m’entrainèrent dans une sorte d’écurie miteuse. Un collier avec une lourde chaine fut fixé à un râtelier. Je n’étais pas seul. Plusieurs mâles étaient rangés en épi le long du râtelier. Je ne pus desceller aucun signe d’humanité dans leur regard ou leur attitude. Ils attendaient, enchainés eux aussi, à 4 pattes dans la paille dans une odeur infecte.
    
    J’entendais dans la parcelle voisine, les ânes braire longuement.
    
    Peut être avaient ils senti un nouveau vide couille arriver…
    
    Je ne revis plus jamais la France, j’en oublierai même la ...