COLLECTION BLACK. Harcèlements sexuels sur mon lieu de travail (8/11)
Datte: 16/02/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... mérité de gérer mon bien.
Merci à tous, reprenez votre travail, Joelle, nous pouvons nous voir dans votre nouveau bureau.
Je me dirige vers le lieu où leur pognon m’attend, du moins je le crois, je m’assois sur le siège qui a vu Albert me mettre son sexe dans la chatte, je passe ma main là ou mes seins ont frottés.
Boby arrive, il a un attaché-case à la main qu’il ouvre.
• Joelle, j’ai vu avec la banque de monsieur Gandin, ils le connaissent et sont près à nous prêter 10 millions d’euros, grâce au mari de Geneviève la chef comptable que j’ai rencontré, il y a deux jours, nous allons pouvoir développer notre activité dans mon pays.
Peux-tu me signer ces cinq feuillets, tu me fais confiance.
En me disant cela, il passe dans mon dos et me caresse mon sein gauche.
• Bien sûr, tu me fais confiance, j’en fais de même pour toi, donne, je te signe tes papiers.
Je signe, il les prend et les range dans sa mallette.
• Je te laisse, j’ai rendez-vous à la banque avec monsieur Gandin, nous devons finaliser l’achat et la demande de prêt.
Sans qu’il le sache, je viens de marquer un point, il n’avait jamais vu ma signature.
J’attends et je vais dans la salle d’eau, je ferme la porte à clef, j’avais raison pour la cache installée par Polo, deux mallettes sont là, ils ont confiance de leur cachette, elles n’ont même pas de fermeture à code.
Mon seul problème, c’est à quel moment les sortir de leur cachette, n’y trop top, ni trop tard, à moins que je force le ...
... destin.
Je quitte la société et j’appelle Christian que je réveille.
• Tu veux ma mort, je viens juste de me coucher.
• Blonde ou brune.
• Perdu, rousse, je ne te dis pas, elles sont chaudes ces Américaines, j’ai eu du mal à rentrer, elle s’accrochait à ma bite, tu suçais bien, c’est normal, c’est moi qui t’ai formé, avec elle, j’ai cru que rien ne ressortirait, tellement elle m’avalait.
• Et c’est à moi que tu parles, Joelle, ton amie, tu as de la chance que je le sois restée après ce que tu m’as fait.
• Tu as raison Joelle, et en plus, c’est toi qui payes la communication, pourquoi appelles-tu ?
• Je voulais te demander, tu as passé un contrat avec le dénommé Boby Smith.
• Ne me dis pas qu’il s’est servi de moi.
Je le mets au courant et lui demande de faire une action décisive, je sors et je retourne dans la rue où se trouve le club où j’en ais satisfait trente, pardon trente-deux, mais cela, on le sait déjà.
Mon œil avait bien vu, il y a une plaque marquée « À vendre » sur la porte, avec un numéro de téléphone en 06.
J’appelle.
• Vous êtes une agence ?
• Non, votre local m’intéresse, j’ai une idée de relance de l’activité qui se passait ici.
• C’est mon père qui a acheté ce club échangiste, il est mort il y a presque deux ans, j’ai fermé ce lieu de perdition, je suis au séminaire à Paris, pour devenir prêtre.
• Peut-on se voir.
• Vous avez de la chance, je suis dans le logement que mon père habitait, j’étais venu pour trier ...