TED 10 LES JOURS QUI VONT VENIR 1
Datte: 16/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... dans cette autre position, ici ou là. Enfin, j'étais un jouet entre ses mains et j'aimais ça !
J'étais bien excité, je l'avais sucé, caressé pendant un long moment, il avait fait preuve de beaucoup de tendresse et m'avait donné lui aussi beaucoup de caresse. Il était allongé sur le dos, les cuisses très légèrement écartées, il bandait ferme, je l'avais bien stimulé … Il me tendait un tube de gel.
Ted : Tu sais à quoi ça sert ! Assoies toi sur ma queue !
Je le regardais, un pincement au cœur, un appréhension naissait dans mon ventre. Il réitérait sa demande …
Ted : Empale toi sur ma queue, je veux sentir tes fesses s'écraser contre mon bassin !
Je tremblais un peu en lui lubrifiant abondamment la queue puis en me lubrifiant le cul. Je prenais ensuite position, j'avais déjà le souffle court pourtant je n'avais encore rien fait. Je plaçais un pied contre ses hanches, je le chevauchais, puis je m'accroupissais. Je me plaçais pour que son gland se place juste contre mon cul. Je respirais bien à fond plusieurs fois, puis, très lentement je repliais un peu plus les jambes. Sa bitte poussait contre mon cul. Là c'est moi qui contrôlait la pression, ça semble plus facile dit comme ça mais je n'étais pas habitué et puis, avec un gros truc comme la bitte à Ted ce n'est jamais facile. Mon cul résistait !
J'avais l'impression que mon cul savait qui commandait à ce moment et que s'il décidait de résister je renoncerais … Ted m'encourageait de son regard et de son ...
... sourire. Je poussais plus fort, j'avais les fesses bien écartées et un moment sans prévenir mon cul se détendait. La moitié de la queue de Ted s'enfonçait subitement, m'écartelait l'anus. Je hurlais de douleur, j'étais pourtant habitué ou en tous cas j'aurais du l'être mais avec une gros bazar comme le pieux surdimensionné de Ted rien n'est jamais gagné !
Je me contractais, je voulais me dégager, mon pied glissait et tombais sur la queue de Ted, je me retrouvais empalé, bien empalé, bien à fond comme il me l'avait demandé. J'ai poussé un cri, je me cambrais, je ne disais plus rien et je faisait des grimaces à faire peur. Ted ne bougeai pas, il me laissait faire !
Je finissais par me détendre ? C'est alors que Ted relevait son torse et me prenait dans ses bras. Je croisais les jambes dans son dos. Il s'allongeait de nouveau prenait ma clé qu'il avait dans la main, m'ouvrait mon dispositif, retirait la cage et me disait de retirer le cock-ring, il y a des opérations qu'il est préférable de faire soi-même …
Ted : Maintenant, masturbe toi !
Je ne bandais plus à ce moment, mais j'obéissais. Rapidement je bandais, je bandais bien même. Il balançait son bassin d'avant en arrière, il appuyait le bas de son dos contre le lit ce qui relevait sa queue vers l'avant, elle entrait bien à fond. Ou relevait le dos, sa queue était alors attirée vers l'arrière, elle ressortait et la pression contre ma prostate diminuait.
Je me masturbais, il continuait ce mouvement. Mon cœur battait ...