1. COLLECTION TRIOLISME. La copine de ma femme (1/1)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Il y a cinq ans, j’ai épousé Ludivine, elle avait vingt-cinq ans moi trente, à cet âge, elle m’a dit qu’elle était vierge de tout rapport avec les hommes, n’ayant pas trouvé celui qui serait capable de lui apporter le plaisir, mais surtout le bonheur.
    
    J’ai ramé presque un an avant qu’elle accepte de m’épouser, j’ai bien senti que sa vie d’avant était sa vie à elle et j’ai toujours fermé ma gueule, de peur de la perdre, les rares fois où j’avais des avancées dans nos rapports.
    
    Et un jour, robe blanche, bouquet, beau-père, belle-mère sans oublier le cousin un peu, non beaucoup bourré.
    
    • Elle a enfin trouvé chaussure à son pied, la cousine, je croyais que c’était une brouteuse de gazon à vie.
    
    Brouteuse de gazon, vu son métier, elle a une entreprise dans la région parisienne qui fabrique des programmes informatiques, y a-t-il un rapport avec les mots de cet ivrogne, j’en doute, mais comme mon beau-père passe par là, je lui attrape le bras.
    
    • Romain, tu m’excuses, j’ai quelque chose à demander à mon beau-père.
    
    • Demande-lui pour le gazon, c’est un secret de famille, mais je pense que tu es en droit de savoir.
    
    Tous ces mots dits de manière incertaine.
    
    • Christian, je peux vous parler !
    
    • J’allais pisser un coup, le champagne, ça fini par ressortir à un moment ou à un autre.
    
    • Au moins, vous parlez sans l’impression que vous êtes bourré.
    
    • Je vois, je vous sers d’alibi pour fuir le cousin, Romain, quand il a bu, c’est impressionnant les conneries ...
    ... qu’il peut sortir.
    
    • Vous êtes dans le vrai Christian, j’ignore ce qu’il a voulu me dire, il m’a parlé de gazon, a-t-il voulu me parler de votre pelouse, je sais que vous l’entretenez avec amour.
    
    • Laisse tomber trois choses, le cousin, le vouvoiement et surtout les Christian, j’ai horreur de mon nom depuis que dans mes années de jeunesse, un acteur dans un feuilleton qui passait tous les jours avait comme surnom Chris Chris d’amour.
    
    Je ne pouvais pas faire trois pas sans que j’entende Chris Chris d’amour par si, Chris Chris d’amour par là, bref une overdose, c’est la période où je fréquentais ma femme, avant que je l’épouse et que Ludivine vienne au monde.
    
    Je n’ai même pas pu draguer les filles, les Christian les tombaient toutes grâce à ce surnom, tu as vu ce que j’ai récupéré.
    
    • Arrête, les copains m’ont toujours dit avant d’épouser ta femme, regarde sa mère, j’ai regardé, j’ai trouvé cela pas mal à cinquante ans, ta femme sait se tenir.
    
    • En façade, mais l’intérieur est bien différent, pour le nom, appel moi Christopher, j’ai pris ce nom dans notre période américaine, nous sommes restés à New York jusqu’à ce que Ludivine ait 22 ans, elle a souhaité nous suivre quand nous sommes rentrés.
    
    • Un chagrin d’amour ?
    
    • C’est ce que nous savons, mais retournons vers nos femmes, je te rappelle que tu as passé une bague au doigt à ma fille, tu vas devoir assumer dans peu de temps.
    
    J’ai été heureux d’avoir cette conversation avec toi, Jules, tu me débarrasses ...
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