1. Ma première fois


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fh, vacances, amour, Oral préservati, init, prememois, initfh, Auteur: Maelys, Source: Revebebe

    ... on ne pouvait me rater depuis le chemin qui redescendait vers le torrent. Je me suis savonnée entièrement le corps. Mes tétons étaient tout dressés, à cause de l’eau froide, sans doute, mais aussi à cause de l’impudeur, toute nouvelle pour moi, de la situation dans laquelle je me retrouvai.
    
    Normalement si Kamal devait apparaître, il devait arriver dans les prochains instants. Je continuai, comme de rien, à me laver. Pas de Kamal. Soit il avait fait demi-tour en me voyant nue, soit il m’observait comme je l’avais fait la veille. Je pris le parti de penser que c’était le cas. Il devait me voir, moi et ma taille mince, mon ventre ferme à l’époque et ma poitrine volumineuse, un bon 95c, qui attirait depuis quelques années déjà le regard des hommes, mes hanches généreuses et mon pubis à la toison brune et épaisse.
    
    J’entrepris de me rincer. J’eus le souffle coupé par le froid de l’eau coulant sur ma tête puis sur mes seins. Je me suis tournée pour rincer mon intimité, histoire, s’il était là, de lui montrer mes fesses, rondes, pleines, mais que mes flirts avaient avoué aimer en me pelotant lors des soirées dansantes d’ados. Je me suis cambrée en avant et j’ai écarté les jambes pour rincer ma vulve en y projetant de l’eau dessus. S’il était là, Kamal devait voir ma croupe et ma vulve offerte par derrière.
    
    Je suis sortie de l’eau, me suis séchée, rhabillée et j’ai pris le raidillon pour franchir la petite butte qui nous séparait du camp. Pas de Kamal. Comme il est très ...
    ... délicat avec les filles, de ce que j’ai pu en voir, il avait dû redescendre en me voyant nue dans le torrent. Je commençai à douter que mes efforts pour le charmer aient pu payer. À peine avais-je franchi la butte, que je le vis grimper, ses affaires de toilette sous le bras.
    
    — Bonjour, Maelys.
    — Ah, bonjour, Kamal, bien dormi ?
    — Oui, à toute à l’heure…
    
    Nous avons poursuivi chacun notre chemin. J’étais heureuse car j’étais persuadée qu’il avait dû regagner le chemin à toute vitesse quand j’étais sortie de l’eau. Il m’avait vue nue. Mon corps était désirable et j’avais dû lui faire de l’effet. J’en eus confirmation tout au long de la journée par ses regards fugaces et détournés sur moi.
    
    Le directeur arriva en fin d’après-midi avec le ravitaillement pour les deux prochains jours. Marie redescendit en voiture avec lui pour prendre son jour de congé. Il nous annonça que Camille, une animatrice, nous rejoindra demain, à pied, par le sentier de randonnée.
    
    Nous voici tous les deux seuls avec les enfants. Le repas s’acheva. J’ai organisé quelques jeux de société tandis que Kamal est allé faire la vaisselle. Le soir tomba bientôt. Nous avons couchés garçons et filles dans leurs tentes. Nous avions terminé notre journée. Kamal s’apprêtait à entrer dans sa tente. Je suis allée le voir en lui demandant s’il acceptait que je dorme dans sa tente, ne voulant pas rester toute seule la nuit. Il a semblé d’abord gêné, puis a accepté en me disant
    
    — Bien sûr, Maelys, pas de ...
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