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Une maison d'ôte bien garnie - 2ème partie
Datte: 15/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds
... bite). Et elle sentait bon malgré notre premier coup ! Sa chatte bavait sa cyprine que je léchais avec ardeur, introduisant ma langue au plus profond en ouvrant ses lèvres intimes de mes doigts. Je sentais la bouche d’Isabelle aller et venir sur ma bite qui avait repris sa forme presque tout de suite… Cette coquine savait y faire pour faire renaître une belle bandaison… mais je ne tardai pas à savoir ce qu’elle voulait quand elle me dit dans un souffle : - Fouré cock aw en bonda an mwen ! (mets moi ta bite dans le cul !) Aussitôt elle prit la meilleure position qui soit pour une levrette ou une sodomie… Le cul levé bien haut, le buste allongé sur le lit, la tête tournée vers le miroir de l’armoire, elle m’offrait une vue terriblement excitante… Je voyais son œillet plissé palpiter doucement entre ses fesses, s’ouvrant et se refermant comme une bouche vorace. Rapidement couvert une nouvelle fois, je m’approchai de ce cul offert si généreusement et saisissant Isabelle par les hanches, j’introduisis ma bite dans son sphincter qui ...
... s’ouvrit aussitôt sous la poussée de mon gland ! En moi-même, je pensai qu’elle avait du se faire sodomiser plus d’une fois car je n’avais pas eu besoin de gel ou de lubrifiant pour lui graisser l’antre interdit… Et elle savait se servir de ses muscles intimes… je sentais ma queue massée par des mouvements quasi imperceptibles et c’étai bon… J’allais et venais de plus en plus vite dans le cul d’Isabelle, cherchant mon plaisir et le sien… et elle m’encourageait à la prendre plus fort… plus profond… me répétant : « ou ni on gro cock ! » que j’avais une grosse bite ! Isabelle a joui la première et je n’ai pas tardé à la suivre, me répandant une nouvelle fois dans la capote puis nous avons basculé sur le côté et nous nous sommes endormis, ma bite logée entre ses fesses… Le lendemain matin, j’ai regagné la maison de Dame Ernestine et je me suis écroulé sur mon lit pour presque vingt quatre heures de sommeil sans rêve… quand une des pensionnaires de la maison est venue m’apporter un petit déjeuner très reconstituant ! J’en avais besoin !