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Véronica
Datte: 15/02/2020, Catégories: Sexe Interracial Mature, Première fois Auteur: feuillevierge, Source: xHamster
Je suis une femme qui aime les hommes et son confort. Adolescente j’eus dès l’âge de 15 ans une liaison stable avec un copain de lycée qui me servait de boy-friend, de frère de substitution, de copain et de sex-toy. J’aimais baiser et il me permettait de le faire dans le confort de ma chambre chez mes parents où il était admis. Vers 20 ans mes études avançaient bien et j’ai rencontré à mon club de sport, où il était moniteur bénévole, un homme de 40 ans, divorcé, père de deux ados. Il était ingénieur avec une bonne situation. C’était un homme charmant et rassurant. Il me fit un peu la cour sans insister. Il était rationnel, raisonnable, sérieux et assez bel homme. Il représentait alors tout ce qu’une fille de classe sociale moyenne peut espérer. Je suis tombée amoureuse et j’ai largué mon copain pour me mettre dans son lit. Nous avons vécu ensemble très vite et notre relation était surtout basée sur le sexe. J’étais une gamine avec de beaux seins et une libido en plein essor. Lui sortait d’une période perturbée et avait besoin de stabilité. Nous avons beaucoup baisé puis fait notre vie ensemble en nous mariant quelques années plus tard. Je suis devenue enseignante et je l’ai suivi dans ses différentes affectations. Nous avons eu des enfants, acheté une maison et tenté une vie commune durable. Je fis bien discrètement quelques accros au contrat avec des coucheries d’un jour dont il ne sus jamais rien. C’était juste pour que le corps exulte en allant voir de temps en ...
... temps ce qu’il y avait ailleurs qu’à la maison. Mais ce ne fut jamais suffisamment fort pour me distraire durablement de ma vie de famille. Je fis même l’amour avec une collègue lesbienne ce qui me confirma, bien qu’elle me fit jouir, que j’étais une femme à hommes. Vers 40 ans mes enfants grandissaient, ma vie était stable et je m’ennuyais au lit car mon homme avait 60 ans et moins de désirs. Il travaillait beaucoup. Nos métiers ne nous rapprochaient pas non plus. De temps en temps je sortais avec des collègues de mon âge. Nous allions dîner au resto en ville. C’étaient des moments sympas où nous parlions boulot, mais pas que, ce qui nous permettaient de nous connaître autrement qu’au lycée où nous enseignions. Certains venaient en couples, d’autres dont moi non accompagnés. Nous prîmes aussi l’habitude pour quelques-uns d’entre nous de prolonger en allant nous agiter dans un bar populaire proche de la gare qui s’était spécialisé dans les fins de soirées dansantes. La musique était bonne, souvent très rythmée. J’adorais danser en engageant tout mon corps dans des déhanchements endiablés. Mes collègues étaient souvent surpris de découvrir cette facette de ma personnalité, non détectable a priori. Plusieurs fois de grands blacks baraqués étaient venus très proches devant moi pour se mettre en phase et me glisser quelques mots valorisants. Je n’y prêtais pas trop attention mais une jeune collègue qui venait souvent me dis en sortant « dis donc Véro t’as la côte avec les ...