Je vais vous raconter une histoire de fesses...
Datte: 15/02/2020,
Catégories:
délire,
Humour
Auteur: Mirthrandir, Source: Revebebe
... est déjà revenu. Alors, ça va mieux ?
— …
— Dites, Brigitte, Jacqueline et François, allez-y mollo quand même.
— …
— Oui, c’est ça Jean-Pierre, rendez-vous utile. Fermez donc les tentures.
Bon, où j’en étais, moi ? Ah, oui !
« Tout en répondant à ses baisers, je glissai les mains sous sa robe, fis remonter le fin coton jusque sous ses bras et, d’un geste rapide, dégrafai son soutien-gorge. »
— Sacrebleu, Brigitte, vous avez de fameux poumons !…
— …
— Oui, vous aussi, Jacqueline, c’est vrai, mais bon… Brigitte, quand même, c’est autre chose, hein !…
— …
— Marceline, je vous laisse l’entière responsabilité de l’expression « bombasse siliconée » que vous venez d’utiliser, nous mettrons cela sur le compte de la jalousie.
— …
— Oui, François ?… Ah, les pièces sont d’origine ?… Très bien, très bien. Merci d’avoir vérifié pour nous.
— …
— Mais oui, Kevin, branlez-vous directement ici, vous gagnerez du temps.
« Elle m’aida à la débarrasser des vêtements, puis pivota et appuya son dos nu contre ma poitrine, pressant les fesses contre mon membre gonflé. »
— Hmmm… Ooh, Charlotte ! Ce que vous êtes gourmande !
« Je promenai les mains sur son ventre ainsi offert à la caresse, emprisonnai les globes de ses seins,… »
— Putain, Brigitte, quelle paire !
« … emprisonnai les globes de ses seins, effleurai les mamelons dressés… »
— Oui, comme ça François, Brigitte apprécie - moi aussi, nom d’une pipe, c’est bandant. Holà ! Mamadou ! Vous arrivez à ...
... manœuvrer, avec ça ?
— …
— Mais non, c’est pas du racisme !
« Je l’embrassai dans le cou, descendis une main vers son pubis tandis que de l’autre épousait la courbe d’un sein, comme pour le soupeser… »
— Non, Jean-Pierre, ne vous mêlez pas de ça. Contentez-vous de mater, ça vaudra mieux. Et cessez de baver, c’est dégoûtant.
« … comme pour le soupeser, les doigts s’attardant autour du mamelon. Je glissai l’autre main vers son entrejambe… »
— Jacqueline mouille bien, François ?
— …
— Ah, oui, je le vois d’ici, c’est dire !
« …mes doigts vinrent au contact de l’étoffe soyeuse de la petite culotte… »
— Ça coûte cher, Brigitte, un string comme ça ?
— …
— Ah, quand même ? Moins y’a d’tissu plus c’est cher, comme on dit ! Bon, j’en étais où, moi ?… Doucement, Charlotte, ce n’est pas un yo-yo.
« …l’étoffe soyeuse de la petite culotte, rencontrèrent la douce et chaude humidité qui imprégnait le tissu à cet endroit. Charline se serra davantage contre moi … »
— …
— Oh oui, Charlotte, vous aussi, j’aime bien.
« … entamant un lent mouvement des reeeeins… ah ! des reins, qui plaquait mon pénis dressé contre la raie de ses fesses, au travers du fin vêtement…»
— …
— Oui, c’est beaucoup mieux sans, Charlotte, vous avez raison. Cet auteur n’y connaît rien.
« … dans un frottement entretenant mon excitation, et que j’accompagnai d’un même mouvement des doigts sur la moiteur de l’étoffe, poussant celle-ci entre les lèvres de son sexe humide. »
— Oui, comme ça, ...