1. Post-divorce - épisode 12


    Datte: 14/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Inceste / Tabou Auteur: Bondhard, Source: xHamster

    ... le reste : lumière minimale, odeur de sperme entêtante, ombres qui se frôlent pour entrer ou sortir des cabines. Jamal prend soin de bien montrer que je suis sa chienne en laisse avant de me faire entrer dans la cabine 7. Classique, elle héberge un fauteuil qui a vécu, un écran plat curieusement récent, une console pour piloter les vidéos et des rouleaux de sopalin. Moins classique, les deux murs latéraux sont percés par deux trappes à battant assez larges, chacune fermée par un petit verrou intérieur. On est loin des classiques trous percés permettant juste de passer un sexe. Ici, une main peut parfaitement aller chercher sa proie ou un cul se présenter pour être défoncé.
    
    - Tu te mets tout nu dedans et tu donnes tes vêtements, ma Kahba. C’est pour pas salir avec le sperme. Je te redonne après.
    
    Je pense « Et accessoirement je ne peux pas me sauver » mais j’obéis comme un somnambule, spectateur de ma propre déchéance. Ca y est, je suis une pute ! Et on va me filmer à poil et taillant des pipes dans une cabine de sex-shop ! Un sursaut de lucidité me fait hésiter. Il le sent et reprend de son ton charmeur :
    
    - Vas-y ma chérie, enlève tout ! Oui c’est bien. Regarde comment ton petit zeb est dur. Tu as envie. Ça va être bon ! Tu vas sucer et avaler le sperme comme tu aimes ! Aussi peut être tu vas être enculé si le mec donne l’ordre, tu sais…
    
    Me voilà nu donc et masqué avec un collier à chien et une laisse. Il a raison, je bande comme jamais. Je suis plus qu’une ...
    ... pute.
    
    - Quand je suis parti, tu fermes ta porte pour pas que les hommes viennent à l’intérieur sans payer. Après tu ouvres le trou du mur à droite et tu mets la laisse dans le trou du mur. Quand ça tire, tu obéis à ce que l’homme dit de faire.
    
    Il quitte la pièce et je referme derrière lui puis je suis sa consigne et j’attends, agenouillé devant la trappe. Moins d’une minute plus tard, un homme entre dans la cabine d’à côté. Il baisse son pantalon et son slip en silence puis s’approche de la trappe. Il n’a pas besoin de tirer sur la laisse. Sa bite circoncise est de taille respectable. Il reste silencieux tout le temps où je le suce, plaqué à la paroi et éjacule en parlant arabe. J’avale tout. Je continue même après et c’est lui qui passe la main pour repousser mon visage en m’insultant. Si ce n’est la taille des bites, la même chose se reproduit six fois ensuite. C’est le même silence gêné uniquement rompu quand les hommes se vident dans ma bouche en soufflant de plus en plus fort.
    
    Le septième, un blanc bedonnant en costume, me surprend : après avoir joui, il garde la laisse tendue afin que je ne puisse pas me dérober et commence à pisser. Comme je ne cherche pas à m’écarter et ouvre même la bouche, l’homme se recule pour profiter du spectacle. Le flot tari, il se reculotte et murmure « Sale pédé dégueulasse ! ». Ces simples mots me font éjaculer sans que j’ai besoin de me toucher.
    
    Je cesse ensuite de compter combien de types se vident les couilles dans ma bouche. ...