1. SOUS INFLUENCE


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... ses affaires de toilette, puis avait quitté la pièce en disant: "J'en ai pour dix minutes!"
    
    Nous n'avions rien planifié. Juste une envie subite. Je l'ai sucé jusqu'à ce qu'il me balance sa charge dans la gorge.
    
    Leslie est revenue une poignée de secondes après que je le termine.
    
    J'avais encore du sperme dans la bouche quand elle est entrée dans la chambre.
    
    Ce souvenir devait lui en apporter d'autres, car il s'est mis à gémir doucement, les dents serrées et la sueur sur son visage.
    
    Je savais qu'il était proche quand j'ai ressenti les premiers spasmes de sa queue.
    
    Je n'avais plus besoin de le pomper aussi vite, il ne pouvait plus faire marche arrière.
    
    Je me contentais de recueillir et d'étaler sa crème onctueuse comme lubrifiant sur sa verge tendue.
    
    Je l'ai laissé se débrouiller avec son orgasme, ne prenant même pas la peine de le branler jusqu'au bout, me contentant de lui presser les boules, et de le laisser s'essuyer avec sa serviette.
    
    Il avait encore sa serviette sur sa bite lorsqu'une cliente est passée devant nous sans se douter, heureusement.
    
    Il m'a regardé, m'a sourit, et m'a dit: "Salope, tu vas rester sur cinq!"
    
    "Karim, je vais exploser! Je dois m'absenter. Je ne peux plus me retenir. Il faut que je me branle, et je ne peux pas le faire ici!"
    
    "OK, attends-moi, je vais payer et on s'en va."
    
    "Euh ... non, je ne peux pas attendre! Soit tu éteins le vibrateur, soit je vais aux chiottes pour me soulager."
    
    La stimulation intense au ...
    ... fond de ma chatte me tordait le ventre.
    
    "Pas question de baisser l'intensité. Tu es à moi, ma petite, et je compte bien m'amuser!"
    
    "Bon. Je dois y aller maintenant."
    
    Je me levais rapidement, rajustais ma tenue, et me précipitais aux toilettes.
    
    Horrifiée, j'ai réalisé que le seul cabinet était occupé, et que deux personnes attendaient!
    
    J'avais tellement besoin de me soulager! C'était la pire torture! Je devais trouver un endroit immédiatement.
    
    Je ne pouvais pas retourner vers Karim et attendre qu'il ait payé. Ce vibreur me rendait folle, je ne pouvais pas réfléchir.
    
    Je me suis faufilée dans un couloir, au fond une porte. Je l'ai poussée et je me suis retrouvée dehors, dans une rue qui donnait sur l'avenue. Quelques personnes grillaient une cigarette juste là.
    
    Dans mon état, suant abondamment, le cœur battant, devenant paranoïaque avec le bourdonnement du vibrateur, une seule idée m'est venue: retourner à mon hôtel, distant de quelques centaines de mètres, pour me soulager.
    
    Je me suis dirigée vers mon hôtel, mais j'avais présumé de mes forces. Une ruelle sur ma droite, personne, je me suis engouffrée.
    
    Je me suis accroupie derrière des bennes à ordures, sans prendre le temps de vérifier si quelqu'un pouvait me surprendre.
    
    J'ai glissé mes doigts dans ma culotte pour me soulager. Le premier contact avec mon clitoris érigé m'a fait sursauter.
    
    Je n'ai pas été longue à venir. J'ai ressenti un tel soulagement!
    
    Je n'ai pas pu me retenir et j'ai ...
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