1. SOUS INFLUENCE


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Tamalou, Source: Hds

    ... l'ai rangée dans mon sac. J'avais hâte de rejoindre ma victime.
    
    21H précises, j'ai traversé le boulevard d'un pas assuré en faisant claquer mes talons.
    
    Un vent frais s'engouffrait sous ma jupe et dans l'ouverture de ma veste.
    
    Ma culotte humide m'a gelé les fesses et mes tétons si sensibles se sont érigés, poussant contre le voile fin du sou-tif.
    
    J'ai croisé quelques passants qui m'ont dévisagée, se demandant ce que cette pute faisait dans ce quartier.
    
    J'ai pris une profonde respiration avant d'entrer dans le restaurant. Je me sentais mal à l'aise, insuffisamment vêtue.
    
    De nombreuses femmes portaient des vestes, mais avec un corsage et un pantalon ou une jupe longue.
    
    Je comptais passer inaperçue, que les gens ne s'occuperaient pas de moi, juste Karim que je voulais séduire.
    
    Qui soupçonnerait une jeune femme d'être assez folle pour s'équiper elle-même d'un vibrateur pour aller au restaurant?
    
    Il était déjà là. Karim était toujours aussi beau avec son collier de barbe et, mon dieu, il s'était habillé!
    
    Costard-cravate, la tenue du parfait "jeune cadre dynamique!"
    
    J'étais stupéfaite du changement avec mon petit étudiant baba-cool!
    
    Il s'est levé pour m'accueillir, les bras écartés, le sourire aux lèvres: "Mon amour!"
    
    Je m'approchais de sa table, ondulant des hanches, le regard enjôleur: "Hé, cher Maître!"
    
    "Tu es magnifique!" Les yeux lui sortaient de la tête quand je suis glissée sur la banquette, tout contre lui.
    
    "Rince-toi bien les ...
    ... yeux, c'est fait pour! Tu aimes mon style de salope?"
    
    "T'es à croquer, mignonne! Vivement le dessert!"
    
    "Oui, J'espère que tu as de l'appétit ..." Assise à côté de lui, je lui tendais mes lèvres et lui donnais un long baiser profond.
    
    La table était parfaite. Les banquettes à haut dossier nous cachait des regards, un réseau serré de plantes vertes isolait notre table.
    
    Nous étions seuls au monde entourés par le brouhaha des conversations.
    
    "Miranda! Je suis si heureux que tu sois venue passer ce week-end avec moi. Enlève ta veste et mets-toi à l'aise."
    
    "Euh ... non, ça va pas être possible …" J'écartais les pans de ma veste pour lui montrer que je n'avais qu'un sou-tif.
    
    "J'ai pensé que ça te plairais si je m'habillais léger. À l'université, tu aimais bien faire des trucs avec mes seins ..."
    
    Les yeux fixés sur mes mamelons érigés, il a demandé: "Tu as froid?"
    
    Je baissais les yeux sur mes mamelons. Ils tendaient clairement le tissu de mon sou-tif.
    
    "Euh, ouais, mais non. Oh et puis merde, tu le sauras assez tôt, de toute façon."
    
    Je me penchais pour lui murmurer: "Je voulais faire un petit jeu pervers, mais je voulais te le dire un peu plus tard. Après avoir bu un verre. Je suis presque nue là-dessous."
    
    Il m'a regardé avec un sourire idiot: "Vraiment? Miranda, tu ne changes pas. Je pensais que c'était fini, les conneries!"
    
    J'ai mis ma main sur son pubis. Il était dur, comme je l'avais espéré.
    
    "Karim ... je t'ai préparé un petit jeu, encore plus ...
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