1. Les ouvriers


    Datte: 14/02/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: MarcoX, Source: Hds

    ... tour et poussa son pote sans ménagement pour prendre sa place entre les cuisses de ma femme et la pénétrer. Même bien lubrifiée par le foutre de son pote, la pénétration ne se fit pas toute seule mais le mec n’était pas un tendre et il la pilonna jusqu’à ce qu’elle encaisse la totalité de son chibre. Ce mec était une force de la nature et si son pote avait suscité quelques gémissements chez ma femme, lui l’a faisait littéralement gueulée. Entre ses mains, ma femme ressemblait à une frêle et fragile poupée dont il aurait fait son jouet. Je tentais bien quelque chose mais ma femme me repoussa pour se consacrer à son amant qu’elle encourageait sans équivoque. Elle enserrait ses cuisses autour de lui et l’enlaçait de ses bras, plantant ses ongles dans son dos tant le plaisir l’a submergé à l’évidence. Je n’aurais su dire mais elle semblait avoir joui déjà à plusieurs reprises. Elle hurlait de plaisir.
    
    - Oh oui c’est bon ! C’est si bon ! On ne m’a jamais baisé comme ça ! »
    
    Lui ne répondait pas et ne faisait que grommeler en la prenant de plus belle.
    
    Il l’a baisa ainsi en missionnaire pendant plus d’un quart d’heure avant d’enchaîner les positions sans que lui, ou elle, ne semblent s’en lasser. Il jouissait lui aussi à plusieurs reprises et abondamment comme pouvait en attester les flots de sperme qui s’écoulait du sexe de sa partenaire mais, ça ne semblait pas le stopper ni même le freiner et de plus, elle en redemandait, se mettant à chaque fois à quatre pattes, le dos ...
    ... bien courbé comme l’aurait fait une femelle en chaleur et le sommant de la prendre encore et encore.
    
    - « Prends-moi encore ! Baise moi s’il-te-plaît ! » le suppliait-elle en tortillant du cul.
    
    Elle n’hésitait pas à l’aider à reprendre de la vigueur s’il le fallait en lui suçant le chibre et les couilles ou en venant frotter son sexe le long de sa queue avant de venir s’empaler dessus.
    
    Le premier homme était resté assis sur le lit et se branlait vigoureusement en ne perdant rien du spectacle de ma femme se faisant tringler par son pote. De temps en temps, il lui crachait des mots en arabe et je n’avais pas besoin de traduire pour comprendre que ce n’était pas de la poésie. Il finit par s’adresser à son pote qui, pour toute réponse, jeta ma femme à côté de lui comme si il s’était agi d’un objet usagé. Ils se mirent ensuite tous deux au-dessus d’elle et après s’être branlé quelques instants, lui lâchèrent d’abondants jets de sperme. Puis ils s’en détournèrent sans même un mot ou un regard pour elle et sortirent du lit pour aller se rhabiller. Avant de quitter la chambre, le premier homme s’adressa au jeune homme qui s’était tenu tout ce temps dans le couloir sans intervenir ni réagir. Il était tout jeune et visiblement aussi surpris que moi de ce qui venait de se dérouler.
    
    - « Allez ! A ton tour ! »
    
    - « Mais chef… »
    
    - « M’oblige pas à… ! »
    
    Le jeune m’adressa un regard comme si il scrutait ma réaction mais je ne savais plus quoi faire ou dire.
    
    Il entra dans ...