GROUPE DE VACANCES 24
Datte: 28/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Charly Chast, Source: Hds
... était avec les gardes du corps !
Antoine : C'est Jean François alors, c'est que c'était pas la bonne chambre !
Ils finissaient par me jeter sur mon lit, me déshabillaient, je ne me laissais pas faire, je gueulais … Les têtes de Jean François et de Charles apparaissaient dans l'ouverture de ma porte …
JF : Mais qu'est ce qui se passe ici ?
Julien : C'est rien, il est bourré comme un goret (chez moi on dit goret pour parler d'un cochon, on peut aussi dire rond comme une queue de pelle, mais je préfère pas car là, il saurait ou se la mettre la queue de pelle … Note du narrateur).
JF : Bon mais essayez de ne pas faire trop de bruit les jeunes …
Je finissais par me retrouver, difficilement, complètement à poil ! Ils étaient là, amusés à me regarder …
Julien : Dis moi Antoine tu crois qu'on peut dormir ici ?
Antoine : Pourquoi pas !
Moi : Vous habitez loin ?
Julien : De l'autre coté de la rue !
Moi : C'est loin, vous devriez rester dormir ici, en plus il fait froid dehors, et moi je sais pas où je suis !
A ces mots ils se regardaient, incrédules … Rapidement ils se déshabillaient et se jetaient sur le lit … Ils se jetaient sur moi, me caressaient partout, me léchaient les tétons, me mordillaient, m'embrassaient sur la bouche, sur le nez, sur les yeux, dans le coup !
Moi : Vas y doucement, j'ai un suçon, je sais plus qui m'a … mais bon … Il faut attendre que ça cicatrise !
Antoine : Attend, j'ai une vengeance à assouvir …
Il prenait un ...
... plug de taille moyenne et me l'enfonçais doucement mais fermement, Julien continuait à me caresser, m'embrasser pour me faire taire, je me détendais. Pendant toute la journée j'avais gardé une étrange et douce sensation dans mon cul. Il avait été vraiment bien stimulé ce matin et ce plug ne rentrait pas seulement sans résistance, il me provoquait aussi un plaisir immédiat, j'avais l'impression que ma cage allait exploser, je sentais ma bite se contracter, tenter en vain de se redresser, je la sentais pousser désespérément contre les parois de la cage, je jouissais instantanément deux giclées de sperme parvenaient à l'embouchure de ma cage suivies par un flot de ce liquide blanc qui coulait pendant un long moment … Je me sentais bien, je ne savais pas où j'étais mais j'étais bien !
Mes deux camarades n'en restaient pas là ! Je les observais d'un œil ! Ils étaient debout au pied de mon lit, ils s'approchaient l'un de l'autre les mains se touchaient, les mains rencontraient les bras, les torses, les lèvres s’effleuraient puis, alors que les bras s’étreignaient, les lèvres se collaient l'une à l'autre … Leurs corps se frottaient, se caressaient … L'un retenait son camarade par les reins, l'autre lui passait la main derrière la tête, les épaules … C'est accrochés l'un à l'autre comme indécollables qu'ils se laissaient tomber sur mon lit à coté de moi, je jubilais et surtout n'en manquait pas une miette.
Antoine attaquait en premier … Il glissait une main entre les fesses de ...