Joyce découvre la pluralité masculine
Datte: 13/02/2020,
Catégories:
fhh,
couple,
extraoffre,
grossexe,
hotel,
amour,
volupté,
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
hdanus,
yeuxbandés,
init,
Auteur: Giga, Source: Revebebe
... m’attendais plus à cette présence étrangère, m’étant faite à l’idée que la surprise était contenue dans le sac que Stéphane avait apporté. L’effet de surprise fut immédiat, je me suis complètement crispée et j’ai inexorablement enfoncé mes ongles dans la chair du cou de Stéphane.
— Aaah, toi, j’aurais dû y penser… dis-je, complètement surprise !
Je comprenais mieux maintenant son entêtement à vouloir rester habillé le plus longtemps possible, le coquin ! Mais pour le moment, il était toujours dans mon dos et continuait son exploration des parties intimes de mon corps avec ses mains. Les deux autres mains s’étaient emparées de mes seins et caressaient les pointes déjà durcies. Je me dis à moi-même :
— Je suis contente d’avoir les yeux bandés, je ne sais pas si c’est un homme ou une femme, mais c’est bien agréable de se trouver entre deux partenaires.
Je ne me suis pas posé la question bien longtemps, car en étant embrassée dans le cou, je sentis une moustache à peine naissante contre ma peau. Je n’avais pas bougé d’un millimètre, mes mains toujours sur le cou de Stéphane, quand il décida de me les retirer pour les poser sur les hanches de l’homme devant moi.
— Ne pense à rien… Laisse-toi aller…Profite de ce moment…Ça ne fait que commencer, me glissa-t-il dans l’oreille en chuchotant.
Je n’arrivais pas à me décrisper, j’avais un peu de mal à caresser l’inconnu en face de moi, et en plus je ne pouvais toujours pas le voir…
Il était doux, agréable même, et ...
... pourtant j’éprouvais de la gêne à le toucher davantage. Mais il savait s’y prendre avec le corps d’une femme et ses caresses ont tôt fait de me donner du plaisir. Cela m’a pour ainsi dire débloquée et je me suis mise à devenir entreprenante à mon tour. D’une main, je caressais Stéphane et de l’autre je rapprochais le corps de l’inconnu qui me faisait tant de bien. Je lui caressai les fesses, puis descendis sur sa cuisse, non sans passer aussi devant son membre, toujours emprisonné dans des vêtements, mais de taille imposante. Je voulus en sentir plus, il avait titillé ma curiosité et je me mis à dégrafer rapidement son pantalon, en délaissant un peu mon compagnon.
— Et bien, elle a du mal ! plaisanta Stéphane.
— Pas facile sans voir, faut dire, répondit l’inconnu.
Je sentis Stéphane un peu nerveux de cette situation, aussi nouvelle pour lui que pour moi.
— Je m’appelle Gaston, dit-il d’une voix suave…
Je me dis sur le moment que Gaston, ce n’est pas bien jeune comme prénom et pourtant, juste à entendre sa voix, il ne m’avait pas semblé vieux. Comme s’il avait lu dans mes pensées, il ajouta :
— J’ai 36 ans…
J’en avais 29, la différence d’âge n’était pas si grande. Je me suis sentie rassurée du choix de Stéphane.
Je me suis accroupie pour lui retirer complètement son pantalon et son boxer, non sans le toucher au travers du tissu. Il avait un sexe très épais, beaucoup plus gros que celui de Stéphane. Quand je me suis relevée, Stéphane a tendu un autre verre à ...