1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (9/22)


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... l’entrée des artistes du stade Charles Mathon, illustre inconnu pour nous tous et ce qu’il y a de bien à voyager avec les joueurs, c’est que nous entrons sans payer.
    
    Les joueurs sont réunis dans les vestiaires, on nous conduit dans la tribune d’honneur, partie visiteurs, la boîte en fer isolante fait son effet, je saurai maintenant comment la museler.
    
    Alain est là, ils ont fini leur réunion avec les instances fédérales.
    
    • Mesdames, vous avez fait bon voyage, je viens de voir Vincent qui m’a dit que les garçons vous avaient respecté et que le voyage s’était bien passé, nous avons le temps, le match commence dans une heure et demie.
    
    • Pardon, laissez passer c’est chaud.
    
    Et je me prends sur mes affaires, saucisses chaudes avec moutarde et ketchup, ma jupe est maculée.
    
    • Mince, Madame, j’ai été bousculé, attendez, ils m’ont donné des serviettes.
    
    • Que faites vous ? Vous étalez tout sur les vêtements de madame, reprenez vos sandwichs, je vais vous aider Véronique.
    
    Mon sauveur, il connaît même mon nom, c’est Alain le président qui vient de prendre les choses en main.
    
    • Venez, nous avons le temps avant le début du match, je dois rester après la finale pour l’assemblée générale et je couche à l’hôtel tout à côté, suivez-moi nous allons arranger les dégâts dans ma chambre.
    
    Je connaissais le coup de la panne, mais le coup du chien chaud à la tomate sur les vêtements pas encore.
    
    • Vas-y Véro, je te garde ta place, regarde, le gars m’a laissé de quoi ...
    ... manger.
    
    Quand nous la quittons, je la vois manger une grosse bouchée de son hot-dog.
    
    Conduite dans la chambre, le président reste sagement assis sur la chaise qui est près de son lit, le temps que j’aille dans la salle de bains défaire et laver mes affaires.
    
    Heureusement, ce sont des vêtements pouvant se laver sans les apporter au pressing. Je les lave à l’eau et au savon et je commence à les sécher avec le sèche-cheveux présent dans cet hôtel de standing.
    
    C’est à ce moment là que ma chatte commence à s’échauffer, je saute sur mon sac. Dans la bousculade, la boîte en fer s’est ouverte et j’ai le temps de voir le parchemin sorti de la boîte en cuir.
    
    Je referme cette maudite boîte espérant arrêter le processus, c’est à ce moment que tel un homme politique, il y a quelques années, Alain me rejoint nu comme s’il venait de naître.
    
    • Véronique, j’ai envie de vous.
    
    • Moi aussi, vite, le match va commencer.
    
    Il me prend par les hanches et m’assoit sur le bord du meuble lavabo.
    
    Notre étreinte est bestiale, il vient directement en moi sans aucune fioriture.
    
    Le parchemin une nouvelle fois, fait son œuvre !
    
    Quelle œuvre, il me pilonne pendant un long moment, je hurle de plaisir.
    
    Si des personnes dorment à cette heure dans les chambres voisines, ils savent que la salope que je suis, s’envoie en l’air.
    
    Un sexe mâle, une chatte très chaude et vous avez un couple qui tire son coup. Divinement, il sort, me fait descendre, me retourne et m’écarte les jambes ...