Élodie, Coralie et leur maman (suite) (3)
Datte: 12/02/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... vraiment l’impression de bien m’en sortir, pendant que je m’évertuais à lui donner du plaisir, j’essayais d’imaginer comment il me regarderait, la prochaine fois que nous nous croiserons dans la galerie marchande. Il avait un petit côté efféminé quand il était dans son magasin de sous-vêtements féminins très distingués. Pourtant ce midi, c’est lui qui me dominait, c’est moi qui avais le rôle de la femme et je faisais tout pour essayer de lui donner du plaisir. Quand j’ai commencé à l’entendre râler, vous savez un râle qui vient de très loin, un râle animal, un râle annonciateur que la jouissance va arriver,
je me suis posé la question un instant pour savoir s’il allait éjaculer sur mon visage ou au fond de ma gorge, mais j’ai rapidement compris que c’était la deuxième option qu’il avait choisie.
Moins d’une minute après, je sentais de grands jets chauds arriver dans ma cavité buccale, sur le coup, j’ai toussé de surprise, finalement, Claude a légèrement reculé son sexe pour que ce dernier me balance sa semence contre le palais. Maintenant, sa liqueur de gland était sur ma langue et en dessous, ma bouche était pleine de sperme, je savais ce que pouvait vivre une femme dans ces cas-là.
— Ma chérie, continue de le sucer jusqu’à la dernière goutte, il ne faut pas gaspiller.
J’appréciais les encouragements d’Élodie qui furent suivis à peu près à l’identique, des bouches de Sophie Coralie et Nathalie.
— Continue à me sucer un peu comme ça, mais moins fort pour ne ...
... pas que cela devienne insoutenable, tu es une bonne salope videuse et nettoyeuse de gland.
Je vais vous avouer que ses propos un peu rabaissants m’avaient vexé. En continuant ainsi à le pomper, je peux vous garantir que je n’ai pas gaspillé une goutte de sa liqueur. Finalement, au bout de quelques minutes, le membre de Claude commençait à perdre de la vigueur, mais il continuait à me baiser la bouche. De temps à autre, il sortait son sexe pour le décalotter au maximum et le remettait au chaud. J’avais vraiment l’impression qu’il voulait que je lui nettoie le bout du gland dans les moindres recoins.
Finalement, Claude a retiré son dard de ma bouche, puis il m’a fait relever, Nathalie et Élodie étaient là pour m’aider, car ce n’est pas évident de se lever quand on a les bras attachés contre le corps et que l’on est à genoux. Claude me tenait par les épaules et m’a plaqué contre lui, pour de nouveau m’embrasser, peut-être voulait-il apprécier le goût de son sperme dans ma bouche.
— Tu es une sacrée chienne, on a vraiment l’impression que tu as sucé de la bite toute ta vie, tellement tu m’as fait ça bien.
Ça, pour un compliment, c’était un compliment, devais-je être honoré par un tel commentaire ? Je restai perplexe.
— Tu as de la chance Franck, cela fait des années que j’aimerais bien sucer Claude, mais il ne veut pas qu’une fille le touche.
C’est vrai que quand j’y repensais, Sophie était - elle aussi une experte en fellation, je me souvins de la prestation ...