1. Le départ du soldat (2)


    Datte: 28/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Pink Lady 08, Source: Xstory

    ... coup.
    
    — Haann... oui mon amour, possède-moi.
    
    Oui il la possède, mais il en veut encore plus. Elle est à lui, elle lui appartient, c’est SA femme, il se sent tellement chanceux. Il l’honore tel qu’elle le mérite. Il la prend autant qu’il le peut, il lui donne des coups de bite aussi profondément et aussi fort qu’il le souhaite, il la baise et elle aime ça. Elle avait noué ses pieds dans le dos de Matthieu, elle voulait le sentir au maximum. Ils s’embrassent, se prennent les lèvres, se les dévorent et ne se lâchent plus. Il veut qu’elle s’en souvienne, que chaque partie de son corps se souvient toujours de ce moment qu’ils sont en train de vivre tous les deux,
    
    Rose se sent tellement bien dans ses bras. Elle se fait littéralement pistonner et elle aime ça. Elle avait eu tort de demander à Matthieu de lui faire l’amour, c’est plutôt d’une baise dont elle avait eu envie, et heureusement, il l’avait compris ainsi. Elle le sent tellement bien en elle, elle ne cesse de jouir sous ses actions, elle ne cesse de gémir du plaisir qu’elle ressent, et elle en veut encore. Matthieu lui prend les seins et lui embrasse le coup, oh cet homme, si sauvage et si doux à la fois. Elle en jouit encore.
    
    Ils ne cessent de se faire l’amour pendant plusieurs heures, dans toutes les positions possibles dictées par leur imagination. Dans toutes les pièces qui attiraient leurs hormones surexcitées. Et c’est par une fellation royalement exécutée dans la salle de bain que se finirent ces fous ...
    ... ébats amoureux.
    
    Le reste de la journée fut plus sage, en attendant l’heure du départ. Ils se nourrissaient de mots d’amour aussi beaux les uns que les autres.
    
    Vers 4h de l’après-midi, Matthieu et Rose s’en allèrent pour la gare où il était censé embarquer dans un train pour la capitale. Les adieux furent difficiles, une longue étreinte leur fut nécessaire pour se consoler encore une fois. Puis Matthieu s’en alla.
    
    Après cinq longues années de combat dur et acharné, durant laquelle de nombreux hommes laissèrent leur vie dans les tranchées et sur les champs de bataille, la guerre finit. Rose était restée dans la même maison, dans l’espoir du retour de son mari. Elle avait tant de fois demandé des nouvelles de Matthieu à ceux qui revenaient de la capitale, sans qu’aucune nouvelle bonne nouvelle ne lui parvienne. Huit longues années étaient passées déjà depuis le départ de son mari, mais elle se défendait de perdre espoir. Pas que pour elle, mais pour tous les trois.
    
    Un jour tard dans la nuit, alors qu’elle préparait le repas du soir, on vient cogner à sa porte. Elle eut peur et prit un lourd bâton pour se défendre au cas où. Lorsqu’elle ouvrit la porte, elle crut rêver. Lorsqu’elle reconnut Matthieu, elle poussa un grand cri et se jeta dans ses bras en pleurant. Il était bien là devant elle. Certes un peu amoché, mais là, bien vivant.
    
    — Que se passe-t-il ? Pourquoi cries-tu ? dit une voix derrière Rose.
    
    — Qui est-ce ? lui demande Matthieu.
    
    — Entre...
    
    Matthieu ...
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