1. La bourgeoise et le marabout (39)


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Erotique, Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... regrette nullement.
    
    Elle répond à mon sourire en me disant.
    
    — C’est bien mieux que dans mes rêves. J’avais oublié que c’est aussi bon !
    
    et elle ajoute pour maître Coulibadou
    
    — Oui, encore ! Prenez-moi !
    
    Le marabout remonte un peu plus haut sur le corps de Marie-Madeleine, sa bite se colle à la chatte trempée de mon amie et, tandis qu’il commence à lui dévorer les seins, je vois son énorme gland qui se fraye lentement un chemin vers le 7ème ciel.
    
    Mon amie gémit de plus en plus, écarte encore plus les jambes et donne des coups de bas-ventre vers l’avant pour que le glaive d’ébène la pénètre entièrement.
    
    Le marabout est maintenant bien planté dans sa patiente et lui assène de violents coups de queue. Marie-Madeleine offre sa bouche au vieil homme qui y glisse sa langue pour jouer avec la sienne.
    
    La situation est des plus excitantes et, assise dans l’un des fauteuils placés au bord du lit, j’ai relevé la jupe de mon tailleur, écarté le tissu de mon string et je caresse mon bourgeon d’un doigt expert. C’est ce moment que choisit Ahmed, l’assistant de Monsieur Coulibadou, pour entrer dans la pièce. Il vient vers moi, me fait mettre à genoux le buste appuyé sur le lit. Il trousse ma jupe, baisse légèrement mon string et enfile d’un coup sec son pieu noir au fond de la chatte. Ma tête est tout près de celle de Marie-Madeleine qui me regarde droit dans les yeux. Je vois le plaisir dans son regard et je savoure ma victoire ; je l’ai libérée de son carcan ...
    ... éducatif et de l’emprise de son mari, la salope qui sommeillait en elle s’est réveillée.
    
    Les deux hommes nous baisent sans ménagement, mais ils doivent savoir que c’est ce que nous souhaitons. Etre saillie bestialement, comme de vulgaires chiennes offertes pour qu’ils se soulagent autant qu’ils ont envie.
    
    Nous sommes maintenant toutes les deux en levrette sur le lit, face à face, et je me mets à embrasser Marie-Madeleine sur la bouche. Elle répond à mon baiser et je sais que cela va exciter encore plus nos deux amants. Ils redoublent en effet d’efforts pour mieux nous ouvrir. Les deux hommes se parlent dans un dialecte que ni l’une ni l’autre ne comprenons. Mais à leurs sourires et au timbre de leurs voix, j’imagine que cela doit ressembler à quelque chose comme ça.
    
    — Voilà deux belles salopes qui semblent apprécier les grosses queues.
    
    — La nouvelle semble encore un peu timide, mais elle a du talent.
    
    — Avec l’exemple d’Hélène, nul doute que nous la reverrons régulièrement.
    
    — Oui, et nous en ferons profiter nos amis du quartier de Pigalle.
    
    C’est à l’unisson qu’ils se vident en nous puis, après quelques ultimes allers-retours, se retirent. Je prends en bouche la queue d’Ahmed, montrant ainsi à Marie-Madeleine qu’elle doit faire de même pour recueillir les dernières gouttes de foutre de Monsieur Coulibadou. Elle s’exécute de bonne grâce et semble même y trouver un certain plaisir, car je la vois se caresser le clito pendant qu’elle s’applique sur le sexe encore ...