La culpabilité d’Eva. 6 - Histoires de Sexe

La culpabilité d’Eva. 6

... TV.

Sans rien dire, elle lui donna les menottes et lui présenta ses mains dans le dos. Elle voulait être menottée, entravée. Christian les lui plaça. Puis, Eva vin s’agenouiller entre les jambes de son maître et lui dit.

— "Maitre, s’il vous plait, donnez-moi votre sexe à sucer. Je ne suis bonne qu’à ça. S’il vous plait."

Christian la regarda, lui sourit. Il se leva, enleva son pantalon de jogging et se rassit. Il ne bandait pas du tout. Cependant, Eva prit le sexe tout mou entre ses lèvres et le suça.

Petit à petit, Christian se mit à bander. Sentir son sexe grossir dans la bouche de son esclave était une sensation merveilleuse. Une sensation qu’il ne connaissait pas.

— "Ne me fais pas jouir. Je veux juste maintenant que tu me suces. Longtemps..."

Eva s’arrêta un instant, le temps de répondre : "Oui, maitre."

C’est dans cette position, qu’ils passèrent la soirée. Elle, à genoux en train de sucer. Lui, assis dans le fauteuil à regarder un film. Rex, quant à lui, était couché sur le canapé et dormait.

A la fin du film, Christian éteignit le téléviseur. Eva le suçait toujours. Elle s’était bien appliquée à ne pas le faire jouir, mais le garder très en forme.

Il lui dit : "Tu peux t’arrêter maintenant. Je vais me coucher."

Elle sortit alors le gland de sa bouche et lui répondit. "Merci maitre." et d’ajouter : "je peux demander quelque chose ?"

— "Oui, tu peux toujours"

— "Maitre. J’ai bien pris conscience de mon état de soumise, de ...

... vide-couille, de petite pute. Mais j’aimerais plus..."

— "C’est à dire ?"

— "Je souhaiterais que vous me mettiez enceinte. J’aimerais porter votre enfant."

Christian se mit alors à pleurer. Il ne s’attendait pas à ce que ce soit elle qui le demande.

Eva rajouta : "Bien sûr, je continuerais à faire tout ce que vous voudrez, mais j’aimerais vous apporter cela en plus."

Les larmes sur les joues de Christian ne cessaient de couler. Sa vengeance, il l’avait eue. Elle voulait lui offrir encore plus.

Il lui enleva les menottes et lui demanda d’aller se coucher et de dormir. Il lui annonça qu’il allait réfléchir à la question et qu’ils en reparleraient le lendemain.

Elle quitta le salon et s’en alla dans la chambre. Elle était si fatiguée qu’elle s’endormit presque instantanément.

Christian, lui, ne vint jamais se coucher.

Lorsqu’elle se leva le lendemain, constatant le lit vide à ses côtés, elle se dirigea dans le salon. Christian était assis dans son fauteuil. Des papiers écrits de sa main étaient posés sur la table basse.

Elle l’appela, mais il ne répondit pas. En s’approchant de lui, elle s’aperçût qu’il avait dans sa main un pistolet muni d’un silencieux. Elle fit le tour et découvrit son maitre, mort.

Il s’était tiré une balle dans la tête. Sur la table basse, un mot griffonné sur une feuille : A l’attention d’Eva : pardon ! Puis divers papiers lui rendant tous ses biens et ses papiers d’identité.

Eva hurla. Elle qui avait maintenant le désir d’être ...