Un neveu serviable - Histoires de Sexe

Un neveu serviable

J’étais enceinte de huit mois comme on dit, enceinte jusqu’aux yeux et j’avais de si gros seins que je ressemblais à une vache. C’était comme ça que je me voyais quand je me regardais dans le miroir. Je savais de quoi je parlais parce que j’avais passé toutes mes vacances chez mes grands parents à la ferme.

Cela faisait déjà deux mois que mon mari était parti travailler sur sa plate-forme en mer du nord et chaque fois que je lui demandais, il me répondait invariablement qu’il rentre à la fin de la semaine mais il avait toujours une excuse pour reculer son retour.

Moi, le sexe, ça me manquait. Je m’étais masturbée mais ça devenait de plus ne plus difficile avec mon gros ventre. Je m’étais acheté un gode ventouse que j’avais planté sur le carrelage du mur de la salle de bain et je me prenais en levrette dessus mais il me manquait quelque chose. La baise, ce n’est pas seulement la bite. Il y a aussi le propriétaire de la bite et ça me désespérait.

Un dimanche midi, on sonne à ma porte. Je vais ouvrir. C’était mon neveu, le fils aîné de ma sœur. Il me dit qu’il passait dans le coin et qu’il vient prendre des nouvelles. Je le fais entrer. Depuis le départ de mon mari, je ne faisais plus de frais de toilette et je me contentais de rester nue ou d’enfiler mon peignoir quand il faisait plus frais.

J’ai tout de suite vu le regard intéressé de mon neveu car il n’arrêtait pas de reluquer mes nichons.

- Tu… Je sais pas… J’ai notre voisine qui est enceinte !

- Oui ...

... ?

- Elle se fait faire des massages, a ajouté mon neveu !

- Ah, bon, tu crois que ça fait du bien, lui ai-je demandé ?

Il a bafouillé qu’il n’en sait rien et moi je lui ai dit que je peux toujours essayer.

- J’avais acheté du baume, je lui explique ! Si tu veux essayer de me masser ? Ça ne doit pas être compliqué ?

Avant de le laisser répondre, je vais chercher une couverture et un drap que j’étale sur la table de la cuisine puis je retire mon peignoir et je m’étends sur la table.

- Eh bien, qu’est-ce que tu attends, je demande à mon neveu ? J’ai apporté le baume ! Il est là, sur la commode !

Je le surveille du coin de l’œil. Il prend le flacon et il lit l’étiquette.

- Eh bien, je lui dit, tu verse un peu sur mon dos et tu masses !

Un vrai toutou. Mon neveu m’obéit comme un petit chien. Le voici qui me masse les épaules et puis le dos. Je lui recommande de ne rien oublier et il me masse les fesses et j’insiste pour qu’il n’oublie rien et ses doigts descendent entre mes cuisses que j’ouvre légèrement pour qu’ils descendent plus bas mais je sens que je vais jouir qu’il insiste et je recommande à mon neveu de revenir à mon dos et là, il commence à me caresser les seins et puis j’en ai assez d’être appuyée sur mon gros ventre et je me tourne sur le côté et mon pauvre neveu ne peut faire autrement que de me masser les seins.

Je le rassure en lui disant qu’après tout, les seins ne sont que des glandes qui servent à faire du lait et il les masse, les masse, ...