1. Hélène ou la préparatrice (1)


    Datte: 10/02/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... toi.
    
    A ces mots je me lève, contourne la table et présente mon sexe devant son visage. Elle l’embouche immédiatement comme si elle voulait rattraper le temps perdu. Mon vit est tout mou mais il ne tarde pas à grossir et devenir très dur. Je lui prends la tête à deux mains. Elle me regarde amoureusement. Je force sa bouche avec ma bite et je la coïte violemment. Ses yeux sont baignés de larmes et elle hoquète sous la charge que je lui fais subir.
    
    Je la relève alors et je la prends dans mes bras tendrement comme pour faire oublier ma dureté. Elle se serre contre moi et me dis :
    
    — Viens, j’ai préparé la chambre d’amis pour nous deux comme ça j’aurai moins l’impression de tromper mon mari.
    
    — Tu avais vraiment prémédité ton coup ? Tu étais sûre que j’allais succomber à tes charmes ? Pourtant tu savais que j’aimais ma femme ?
    
    — Oui je le savais mais je voyais aussi ton désir transparaitre dans tes yeux quand tu me parlais. Ton regard était celui d’un homme qui avait envie de me faire l’amour.
    
    — Ça se voyait tant que ça ?
    
    Sa main glisse sur mon sexe à moitié durci.
    
    — Tu vois tu ne peux pas le cacher ; dit-elle en riant ; D’ailleurs je me demande comment tu fais pour avoir autant d’endurance. Avec mon mari, les rares fois où nous faisons l’amour, c’est juste une fois et encore à la va-vite. Après il s’endort…
    
    — Tu veux dire qu’à mon âge c’est surprenant ? Ce n’est pas à toi que je vais cacher qu’il y a des médicaments pour ça : Cialis, Viagra. ...
    ... Aujourd’hui, moi aussi j’avais prémédité mon coup et j’ai pris du Cialis en prévision car ses effets durent plus longtemps.
    
    — Jamais je ne t’ai vu avec une ordonnance qui les prescrivait.
    
    — Je vais dans une autre officine pour ne pas exposer ma vie privée.
    
    — Finalement tu es un sacré coquin. Ta femme a de la chance de t’avoir. Tu es un type bien.
    
    — Oui nous faisons l’amour souvent, sans aucun tabou. Tu vois avec toi c’est la première fois que je trompe ma femme, tu m’as ensorcelé.
    
    Hélène m’emmène jusqu’à la chambre. Je la fais allonger sur le ventre et je la caresse des pieds à la tête en évitant les zones érogènes : ses jambes bien droites et finement galbées, la peau douce de ses fesses bien fermes et cambrées, sans l’ombre d’une cellulite, son dos à peine musclé, son cou gracile, les lobes de ses petites oreilles que je presse légèrement. Elle ronronne et me dit que ça lui fait du bien.
    
    Mes gestes deviennent plus audacieux. L’une de mes mains se glisse entre le matelas et sa petite poitrine. Elle se soulève légèrement pour me faciliter la tâche. J’empaume son sein, petit mais ferme, et effectue une légère palpation tout en douceur.
    
    J’insinue le doigt de mon autre main dans la raie de ses fesses et le fais progresser de son petit trou vers l’entrée de sa chatounette. Elle gémit. Je me penche sur sa tête tournée vers moi et je lui mâchouille le lobe de son oreille jusqu’au moment où, oh surprise, elle a un orgasme.
    
    Quelques minutes se passent. Elle se met alors ...
«12...8910...13»