1. Hélène ou la préparatrice (1)


    Datte: 10/02/2020, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    ... vite.
    
    — Je n’ai pas joui cette fois-ci, tu ne m’as pas laissé le temps. Je croyais que tu allais inonder mes boyaux, mais j’ai aimé boire ton sperme parfumé à mes odeurs secrètes.
    
    — En amour, il est bon de ressentir quelques frustrations. Tu m’as épuisé et il va falloir quelques temps avant que je puisse t’honorer de nouveau. Alors je te réserve une surprise. Tu as du lubrifiant vaginal ?
    
    — Non, pourquoi ?
    
    — Tu vas savoir, attends-moi je reviens. Mets-toi sur le dos et écarte les jambes.
    
    Je vais dans la cuisine et dégotte une petite bouteille d’huile d’olive. Je retourne dans la chambre où Hélène s’est mise dans la position que je lui ai demandée d’avoir.
    
    — Tu sais ce que c’est le fist ?
    
    — Oui j’ai vu ça dans des films pornos. L’homme enfonce la main jusqu’au poignet dans la chatte de sa partenaire. Tu vas me faire ça, d’où ta demande de lubrifiant ?
    
    — Oui
    
    — Mais jamais ça ne va entrer.
    
    — Mais si bien sûr. Ne crains rien j’ai l’habitude avec ma femme.
    
    Je trouve une serviette dans la salle de bains et je lui mets sous les fesses pour ne pas tacher le lit. Je verse de l’huile d’olive dans son sexe entrouvert et la fais pénétrer avec mes doigts. Hélène s’agite.
    
    Je retourne dans la salle de bains et j’enduis ma main entière jusqu’au poignet avec le lubrifiant improvisé.
    
    Hélène m’attend, anxieuse mais, semble-t-il, curieuse.
    
    Je m’assois sur le lit et j’introduis deux doigts dans sa foufoune. Devant son acceptation silencieuse, j’en ajoute ...
    ... deux autres, bientôt rejoints par mon pouce. C’est le moment le plus délicat, il faut que le plus gros de ma main puisse passer. J’observe Hélène et guette le moindre signe de douleur qui pourrait empêcher ma progression. Lentement l’intromission se fait. J’arrête dès qu’Hélène pousse un cri. Elle me dit que c’est bon et que je dois continuer. Je verse un peu d’huile d’olive sur ma main jusqu’au moment où, dans une ultime poussée, sa chatte se referme sur mon poignet.
    
    Elle fait la grimace mais m’avoue qu’elle ne pensait pas pouvoir y arriver. Je peux alors, à loisir, faire bouger ma main entière dans son vagin. Son corps magnifique est secoué de spasmes qui la font se tordre sur le lit, jusqu’au dernier, qui la fait s’arc-bouter et retomber inerte alors qu’une jouissance suprême la fait crier de bonheur.
    
    Elle se met sur le côté, dos à moi et s’endort immédiatement, repue de sexe. Je regarde ma montre. Il est deux heures du matin. Ça fait pratiquement six heures que l’on baise. Je suis époustouflé de mon endurance et de sa soif à rattraper le temps perdu. Heureusement, on est dimanche et Hélène ne doit pas aller travailler. Moi j’ai tout mon temps puisque ma femme doit rentrer dans six jours.
    
    Fatigué moi aussi, je ne tarde pas à m’endormir. Ma nuit est peuplée de rêves érotiques et je vous laisse deviner qui y tient une grande place.
    
    Au petit matin je suis réveillé par une salade à la foufoune – rappelez-vous l’huile d’olive. Hélène, en position de soixante-neuf, ...