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La bourgeoise et le danseur
Datte: 10/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byJipai, Source: Literotica
... vidais une seconde fois dans son vagin inondé. Nous nous affalâmes, hébétés, par l'aventure qui venait d'être la notre. Et puis elle parla, elle me dit le plaisir qui fut le sien, un plaisir pervers de sucer ainsi un inconnu en plein bal et en fin de compte elle me demanda si nous recommencerions. Je répondis par l'affirmative en lui promettant de revenir au bal le dimanche suivant. Ce que nous fîmes. Cette fois elle avait pris de l'assurance et moi aussi. Nous connaissions mieux les lieux, les us et coutumes. Nous nous assîmes à une table et on attendit les danseurs. Bien vite il en vint un, un homme dans la trentaine, assez beau de sa personne et je vis dans le regard de ma femme qu'il était à son goût. En effet, ils dansèrent plusieurs fois ensemble, de plus en plus collés l'un à l'autre et au bout d'un moment ils disparurent au fond de la salle comme la première fois. Un quart d'heure plus tard ils étaient de retour et sans façon ils vinrent s'asseoir à la table. Ma femme me souriait. « Gille nous invite chez lui ce soir. » dit elle toujours souriante. Je fus décontenancé par la proposition, ne sachant quoi répondre, ce fut ma femme qui m'encouragea à dire oui. Ce que je fis sans trop savoir comment. Je dus paraître demeuré aux yeux de l'homme qui me regardait avec le sourire triomphant du mec sur de lui. Ainsi fut fait, Gille n'habitait pas loin de La Bastille et nous nous rendîmes chez lui à pieds. Je dois dire que l'air frais me fit du bien et je ...
... reprenais un peu mes esprits. Gille parlait de son quartier, nous montrant les bâtiments comme si nous eussions été des cousins provinciaux. Enfin arrivé devant son immeuble il déclancha la porte automatique et il nous fit entrer. Il habitait au sixième et il nous guida vers l'ascenseur. Ouvrant la porte, il nous invita à entrer dans une boite minuscule propre à filer l'angoisse au moins claustrophobe. Nous nous entassâmes dedans et il appuya sur le bouton. Nous étions serrés et tout de suite je sentis qu'il cherchait les fesses de ma femme. Elle le laissa faire, rougissante et haletante tout le temps de la montée qui me parue un siècle dans cet ascenseur hors d'age. Elle était rouge comme une pivoine quand nous atterrîmes sur le palier du sixième. Gille fouilla sa poche et ouvrit la porte le l'appartement nous invitant à entrer. Il ne se départissait pas de son sourire ravageur qui avait du faire craquer mon épouse. Celle ci, faisait sa timide, répondant de façon mièvre à ses sourires, sans doute très excitée par la montée en ascenseur. Il nous fit l'honneur de son canapé que je trouvais profond et où on se laissait aller avec délice. J'interrogeais ma femme du regard le temps qu'il prépare des rafraîchissements en cuisine, elle me répondit par un regard neutre mais assuré. Je ne savais que penser quand il revint avec un plateau ou tintinnabulaient des verres et des bouteilles. Il fit le service et se laissa aller sur le canapé de l'autre coté de ma femme. Il nous demanda si ...