UNE VEUVE INCONSOLABLE
Datte: 10/02/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Tamalou, Source: Hds
Anne était veuve depuis presque un an. Sa fille la bousculait et la pressait souvent de reprendre goût à la vie.
Anne répondait que son défunt mari méritait une période de respect plus longue avant de recommencer à sortir.
Finalement, cédant aux exigences de sa fille, Anne a accepté de se remonter le moral, mais elle lui a indiqué qu'elle ne connaissait personne. Sa fille lui a immédiatement proposé: "Maman, je connais quelqu'un de bien!"
Anne était indécise et même craintive en apprenant que le postulant était plus jeune qu'elle.
Mais finalement, elle a cédé devant l'insistance de sa fille et elle a accepté de le rencontrer devant un café.
Eh bien, ce fut un coup de foudre. Il était grand, bel homme, distingué, et vraiment, pour elle, le partenaire idéal.
Elle était subjuguée par sa prestance, son élocution, et le charisme que cet homme dégageait.
Pendant quatre semaines, il se sont fréquentés chastement, se promenant bras dessus bras dessous, dînant ensemble, visitant des musées, des expositions … Ils allaient au spectacle, plaisantaient ensemble, échangeant de menues confidences.
Mais lorsqu'il la raccompagnait chez elle, en tentant de franchir le seuil, elle se recroquevillait et l'embrassait chastement du bout des lèvres en lui souhaitant une bonne nuit.
Finalement, il jugea que pour pouvoir dévergonder Anne, il lui fallait plus qu'une soirée de temps en temps.
Il l'a donc invitée pour un week-end à la campagne. Récalcitrante, elle a ...
... d'abord refusé cette intimité.
Mais sa fille est intervenue, la pressant d'accepter l'invitation. Anne accepta à contrecœur, mais en imposant ses restrictions.
Ils pourraient éventuellement partager le même lit, voire un chaste câlin, mais pas d'étreinte tant qu'elle ne se sentait pas "prête".
C'était une luxueuse voiture, son compagnon était charmant, elle accepta quelques caresses pendant le trajet.
Dans la chambre, dans l'intimité de cet homme, pour la première fois, elle se sentit troublée.
Il lui tourna le dos et se déshabilla entièrement en pliant et rangeant soigneusement se vêtements.
Elle se retourna et l'imita, mais elle n'eut pas l'audace d'ôter sa culotte en dentelle noire.
Il lui tournait le dos et se penchait en avant pour retirer ses chaussettes. Machinalement, elle admirait ses fesses musclées.
Ce n'était que le deuxième postérieur d'homme qu'elle avait le loisir de contempler, et celui-là lui paraissait intéressant.
Elle laissait vagabonder son imagination en supputant sur ce qu'elle allait découvrir lorsqu'il se retournerait.
Eh bien, elle ne fut pas déçue, au contraire.
À mi-chemin d'une érection complète, son membre semblait déjà plus important que celui de son défunt mari.
Anne ne s'éternisa pas dans une contemplation malsaine et détourna rapidement son regard, rougissante et embarrassée.
Aguichée et ravie, le souffle court, des images se télescopaient dans son imagination.
Elle s'imaginait baisée, vraiment baisée, pour ...