1. Choc culturel...et gynécologique ! (6)


    Datte: 09/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... les gens enlacés, à moitié nus sur les sofas, les chambres munies de carreaux de verre, permettant aux voyeurs d’observer les couples ou les groupes, qui se livraient à toutes les luxures possibles et inimaginables : son mari l’avait emmenée dans une boîte à partouze !
    
    Quand l’inconnu l’emmena dans un box, avec un lit et des anneaux fixés au plafond, elle s’était laissée enchaîner, les bras levés; prise au piège. Alors, l’homme l’avait enlacée et l’avait embrassée voluptueusement, sa langue avait suivi celle de l’homme. Elle avait apprécié ce baiser fougueux, tandis que le type avait baissé la fermeture éclair de sa robe si courte...
    
    Le vêtement à terre, elle s’était retrouvée nue, en bas et porte-jarretelles, livrée, attachée à la convoitise de l’homme, qui la caressait fébrilement sous tous les angles. Elle gémissait de ces contacts clandestins, tandis qu’elle regardait son mari se régaler de la déchéance sexuelle de son épouse. L’homme ordonna alors à Saddam de s’approcher d’eux :
    
    — Toi le mari, ça te plaît de me voir avec ta femme, je vais la baiser cette salope ; aide-moi à lui relever le bassin.
    
    Et servilement, Saddam se plaça derrière son épouse, et tout en lui soulevant les fesses et les cuisses, pour qu’elle présente son sexe ouvert et humide à l’homme, il lui enfonçait un majeur dans l’anus. Bizarrement, Françoise qui n’aimait pas la sodomie et ne l’avait jamais pratiquée se délecta à ce doigt qui pénétrait sa dernière virginité. Mais quand elle vit ...
    ... l’homme baisser son pantalon et exhiber un très beau phallus bien érigé, elle eut un mouvement de panique :
    
    — Non ! Saddam, s’il te plaît, ne le laisse pas faire, je ne veux pas être pénétrée par un étranger. Caressez-moi, léchez-moi, mais pas de pénétration ! “
    
    L’homme un peu déçu regarda Saddam qui, embarrassé, opina du chef, et alors il se mit à embrasser sa femme, à lui caresser et lui pincer les seins, tandis que le type qui s’était rhabillé avait sa tête entre les cuisses de Françoise, et qu’il lui dévorait avidement le sexe !
    
    Puis le couple était rentré chez lui, avec un Saddam boudeur, qui ne décocha pas un regard ni une parole à sa femme. Pour lui, ce n’était que partie remise ! Cela, Françoise en avait bien conscience !
    
    Alors, le reste de la semaine avait été une longue descente dans la déchéance sexuelle. Saddam exigeait que sa femme aille au travail dans des tenues toujours plus osées et découvertes. Robes moulantes, petites jupes minimalistes, chemisiers largement échancrés, petits tee-shirts très serrés, qui laissaient apercevoir les pointes toujours en érection de ses seins. Et évidemment jamais rien en dessous, à part le sempiternel porte-jarretelles et la paire de bas; uniquement, des bas en couture ou résille ! Visiblement, Saddam voulait que tout le monde comprenne que sa femme était désormais une "femme publique", toujours nue sous ses tenues extravagantes. Et Françoise acceptait tout... par amour, par peur de perdre son mari, mais aussi par défi ...
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