1. L'initiation continue


    Datte: 27/03/2018, Catégories: fh, fhh, fagée, inconnu, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), contrainte, Oral hdanus, sm, attache, init, Auteur: Hip-Hop, Source: Revebebe

    ... précédent ; il devait avoir le même âge que Ghislaine. Il était cependant bien monté, et était déjà en érection. Ghislaine se mit face à moi, me regardant, comme l’homme précédemment. Elle appuya ses mains sur le pilori, de part et d’autre de ma tête et se pencha : j’avais sous les yeux son haut en satin, un début de décolleté et une belle vue sur sa jupe en cuir et ses jambes. Ses fesses devaient être magnifiques, moulées dans cette jupe et offertes à cet esclave… mais je n’en voyais rien.
    
    L’esclave arriva par derrière et souleva la jupe. Il posa ses mains sur ses hanches de femme. Il la pénétra d’un coup, allant jusqu’au plus profond de son intimité. Elle ne poussa même pas un cri, devant peut-être être habituée à cette façon de procéder. Tout juste ferma-t-elle un instant les yeux, pour les ouvrir en me regardant ironiquement :
    
    — Ce n’est pas aujourd’hui que vous me toucherez.
    
    Son corps ondulait au gré des coups de buttoir de son esclave. Je devinai ses seins libres de tout sous-vêtement aller et venir dans son haut de satin. Quel plaisir aurais-je eu à caresser cette étoffe si douce, et ce corps si bien fait. C’était terriblement frustrant, totalement envoûtant… et tellement excitant… L’esclave était visiblement plus expérimenté que son homologue de la première séance : il ne voulait pas que sa maîtresse jouisse sans lui. Quand il sentit sa maîtresse prête à jouir, il se déchargea par des coups de butoir plus lents mais au plus profond du vagin. Ghislaine ...
    ... explosa en même temps. Il se dégagea ensuite très rapidement de sa maîtresse, qui se releva et rajusta sa tenue. Pas même un regard pour celui qui venait de la faire jouir. Un peu essoufflée, elle me dit :
    
    — C’est fini pour aujourd’hui.
    
    Elle me détacha ; je commençai à me rhabiller. Comme lors de la première fois, elle me confisqua mon sous-vêtement, mais cette fois-ci également mon pantalon.
    
    — Il faut que vous portiez une tenue en adéquation avec votre statut ; voici le pantalon, à vous de trouver le haut.
    
    Je ne comprenais pas le sens de sa remarque : c’était un beau jean en cuir, plutôt réservé au maître qu’à l’esclave. C’est en le mettant que je compris : si le pantalon était à ma taille, il était cependant extrêmement moulant au niveau du bassin. Une grosse bosse se dessinait au niveau de mon sexe tendu et le cuir s’enfonçait profondément entre mes fesses, les dessinant mieux qu’un boxer. Inutile d’essayer de mettre un sous-vêtement. La fermeture était à bouton, ce qui la rendait difficile à fermer, mais augmentait - trouvai-je - la sensualité du déshabillage, bouton par bouton. Le contact froid du cuir sur ma peau me troubla. Ghislaine me regardait :
    
    — Apparemment, vous n’attirez pas beaucoup la gent féminine. Voici qui va vous donner quelques intérêts auprès d’elle.
    
    Elle me congédia. J’avais le goût âcre du sperme en bouche et une douleur sourde dans l’entrejambe. J’allais devoir sortir dans la rue habillé avec une tenue sans équivoque, je n’avais toujours ...
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