1. Bonne année, Sabrina !


    Datte: 08/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Partouze / Groupe Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... caleçon et se branlent en admirant la scène où Sabrina s’exhibe. Les femmes, une main dans leur culotte, ne sont pas en reste. Debout sur la table, en pleine lumière, la belle employée a oublié toute gêne et prend un réel plaisir à son impudeur. Enora est émerveillée : son plan fonctionne encore mieux qu’elle avait espéré. Sabrina sent que les puissantes vibrations lui procurent de belles sensations dont elle veut faire profiter le plus grand nombre. Elle écarte ses jambes afin de chacune et chacun voit bien sa chatte poilue remplie avec le jouet bleu, dont elle tourne le potentiomètre au maximum, afin de conclure.
    
    Mais stop ! Enora, d’un geste impératif de la main, lui interdit toute jouissance. Elle commande et exige l’obéissance. Pour ne pas être punie, Sabrina est contrainte d’éteindre le vibromasseur malgré son ventre en feu. Elle attend l’ordre de reprendre, haletante, gémissante, ruisselante de sueur, car il commence à faire très chaud dans la salle de réunion. Le silence est troublé par le soudain feulement de jouissance d’une jeune secrétaire qui n’a pas pu s’empêcher de continuer à se caresser. La patronne la fusille du regard. La fille sait qu’elle sera châtiée physiquement. Elle s’en moque. Mieux : l’insolente aime ça, et continue à se branler en défiant l’autorité, dans des bruits suggestifs de doigts entrant et sortant d’une chatte trempée.
    
    Enfin, Enora autorise la reprise de l’onanisme. Tout le monde s’y remet à cœur joie.
    
    Depuis son adolescence, ...
    ... Sabrina est une femme fontaine : au moment de l’orgasme, de son vagin gicle une copieuse éjaculation féminine sous la forme d’un geyser de mouille qui inonde de devant elle. Ses nombreux amants ont toujours été impressionnés par tant de prodigalité liquide ; au début, elle trouvait cela gênant, mais les hommes sont toujours excités par les nectars féminins aux merveilleux parfums de luxure.
    
    Devant les regards ravis de ses collègues, dans un rugissement de bonheur, Sabrina jouit comme elle n’a encore jamais joui, d’une extase folle attisée par l’exhibitionnisme et le court moment de frustration qu’elle a eu à subir. Aucune pudeur ne la retient ; elle ferme les yeux et fourrage avec hargne le vibromasseur dans son vagin, afin de retirer de son corps jusqu’à la moindre parcelle de volupté. Lorsqu’elle explose, elle retire l’objet de sa gaine vulvaire d’où fuse une cyprine brûlante. Elle bouge ses hanches de manière à ce que chacune et chacun en reçoive au moins quelques gouttes sur son visage.
    
    Elle s’approche d’Enora, et lui donne son pied à sucer, debout sur la scène, comme le fait Selma Hayek avec George Clooney dans le film Une nuit en enfer. La gourmande Enora suce lentement, avec délice, en laissant pénétrer les orteils vernis de rouge jusqu’au fond se gorge, puis change de peton, profitant de chaque minute de ce fabuleux moment d’exultation fétichiste. Les vibrations aidant, l’orgasme saisit Sabrina une seconde fois. Debout sur le bord de la table, elle se déverse dans la ...