L'équipe XIII - Histoires de Sexe

L'équipe XIII

... qu'il me souleva du meuble et me porta dans sa chambre, m'allongeant sur le lit... Sa queue trouva de nouveau le chemin de mon anus, de mon petit orifice qu'elle envahit, il y plongea ce phallus admirable de nouveau et me fit ainsi l'amour pour une seconde fois, moi sur le dos lui allonge puis à genoux, il me retourna même, me prenant façon levrette, finissant par me pousser dans le matelas, reposant tout son poids sur moi en de violent coups de bélier. Mon homme, mon quasi frère se répandit en moi pour la seconde fois cette nuit là et me poussa ainsi à mon second orgasme, tapissant de ma propre semence les draps de son lit. Mais ni lui ni moi ne prêtèrent attention à cela. Nous étions trop bien. Il ne se retira pas de moi mais nous fit rouler sur le côté, refermant ses bras musclés autour de mon torse, il me tenait contre lui et je dois avouer, j'étais aux anges, là où je voulait être, avec lui. C'est ainsi que nous trouvâmes le sommeil, l'un contre l'autre en cuillère.

Au petit matin, au réveil, un sourire large comme une banane illumina mon visage lorsque je réalisai où j'étais et que ces bras puissants m'enlaçaient encore de la manière la plus possessive et romantique possible. Nous n'avons pas parlé de cela, pas un mot mais durant cette seconde semaine de blocus chaque matin nous nous lavions mutuellement et je buvais à la source ce nectar chaud et soyeux, chaque soir, il inondait mes entrailles à deux ou trois reprises de sa semence... Nous ne nous sommes jamais ...

... inquiétés d'être entendu ou découvert... Chaque soir, mes shorts de nuit restaient dans le tiroir de la commode, chaque matin je défaisais et refaisais mon lit comme si j'y avais passé la nuit. Chaque journée nous bossions comme des fous et la pression le stress nous l'évacuions à notre manière, celle de fougueux amants. La semaine passa sans même s'en rendre compte et lors du premier jour des examens alors que David et moi abordions les épreuves détendus et confiants, nous pouvions voir le poids et la pression du stress s'afficher sur les "faces de zombies" de nos camarades étudiants... Nous avons continué ainsi chaque soir et matin de ces deux semaines d'épreuves et d'examens, pour notre plus grand bien.

Le mercredi midi de la seconde semaine était là, ma dernière épreuve venait de s'achever, j'étais maintenant en congé pour les 10 jours à venir quant à David il lui restait un examen du jeudi et encore un le vendredi, de la il partait avec une bonne partie de sa classe en vacances de neige, moi je restais là, enfin je rentrais à la maison... Je ne fus guère surpris du message reçu à peine sorti de l'auditoire, Rick me demandait si je pouvais passer chez lui, ce que j'acceptais à la condition d'être rentré à quatre heure, sans lui dire pourquoi, je n'allais pas lui dire que je voulais être à l'appartement au retour de David. Je n'en reviens toujours à quelle vitesse une fois entré chez Rick nous nous sommes retrouvés nu sur son lit en position de soixante neuf à nous sucer ...