L'équipe XIII - Histoires de Sexe

L'équipe XIII

... qu'un "bonjour" à moitié grogné... je ne peux pas laisser faire... C'est trop pour moi je devine aisément sa gêne, sa peine, son manque... et même si j'ignore les miens, ils sont là aussi. Je regarde avec décir, passion, tendresse, compassion... Je fini par me lever et me dirige vers lui qui continue de se rincer la bouche. Je me presse contre lui, je ne dis rien, mes lèvres son sur son épaules droite, un bisou qui n'en fini pas, mes narines se dilatent alors que j'hume sa fragrance, qu'elle s'insinue à nouveau en moi et me fait sourire, me fait me sentir bien. Je ne dis rien.. il ne dit rien. Doucement, lentement mes mains glissent sur ses hanches, mes doigts finissent par s'aventurer dans sa toison, par couvrir son sexe, par courir dessus. Il ne dit toujours rien mais il r"pond à mes sollicitations et fini par se retourner, je suis accroupis devant lui mes lèvres ont fini de glisser de son épaule sur son torse, sur ses abdominaux et maintenant dans le plus grand silence mon visage se presse contre son sexé bandé, contre toison pubienne, contre ses bourses... Seule ma respiration, mes longues inspirations brisent le silence de la pièce. Que c'est bon, cette chaleur qui irradie mon visage, ses parfums qui emplissent mes narines... des bisous se posent, ma langue glisse, mes lèvres se pincent, s'enroulent. J'embrasse, je lèche, je retiens et je suçote des ses bourses, de ses testicules à son chibre, sa hampe, son gland. Bon dieu qu'est ce que c'est bon le sexe de son mec... ...

... Nous n'changeons aucun mot, aucun regard, seule sa main se mêle à mes cheveux les caressant, les ébouriffants lentement. Combien de temps me laisse-t-il faire ainsi ? Cinq, dix, quinze minutes ou moins? Je n'en sais rien, il n'en sait rien et on s'en fiche... Tout au plus pousse-t-il des grognements qu'il tente de refreiner. Un plus profond plus guttural s'échappe quand même quand j'aspire son gland au fond de ma gorge et que mes lèvres pincent la base de sa verge. Le plaisir partagé et là, intense puissant, je ne veux que son bien... il fini par se raidir, par pousser sur ses pieds et dans une série de grognement à peine étouffé il éructe son plaisir, sa verge pulse, sa queue se tend, s'arque boute et de long jet de son ambroisie s'écrasent au fond de ma bouche, dans ma gorge, me faisant déglutir avec délectation alors que je bois sa semence qui s'échappe avec force en de long jet, nombreux, il ne s'était surement pas branlé depuis, ses testicules étaient pleines et la je l'aide a les drainer pour notre plus grand plaisir. Le flot se tari mais je continue à téter tel un nourrisson affamé. Ce n'est que quelques minutes après que je laisse un sexe encore bandé glisser, tout luisant de salive, à l'air libre. Il ne dit toujours rien mais sa main s'offre a moi et je la prend, il m'aide à me relever et sans un mot il m'enlace avec force, me coupant presque la respiration et ses lèvres me couvre le visage avant de se verrouiller sur les miennes, cherchant, réclamant et conquérant un ...