Découverte du club échangiste
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
grp,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
couplus,
extracon,
grossexe,
boitenuit,
noculotte,
Partouze / Groupe
init,
Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe
... c’est qu’elle aime que son mari l’offre à d’autres mecs, et qu’il parle d’elle avec des mots crus pour l’aider à prendre son pied. Je comprends que ça la fasse jouir ; je comprends même que ça excite le mari de la voir se faire baiser. Ce que je comprends moins, c’est qu’ils ne partagent rien avec les autres. Elle ne s’est pas occupée de nous une seule seconde. Seuls comptaient son mari et son orgasme. C’est dommage.
— Oui, tu as raison. Mais on s’en fout ! Viens, fais-moi danser ; on trouvera bien d’autres partenaires.
— Et nos amis ? Et Marlène ?
— Marlène s’est fait draguer par le gringalet là-bas. Béa et son mari ont trouvé des amis ou des connaissances. Profitons-en ! Viens t’occuper de moi…
Christine m’entraîna sur la piste pour un slow. C’est là que je vis que le sol était un miroir, et que l’éclairage était calculé pour qu’on puisse voir assez bien sous les robes. Les hommes qui étaient assis sur les banquettes n’en perdaient pas une miette, d’autant qu’apparemment presque toutes les femmes avaient oublié ou ôté leur culotte. Et que celles qui en portaient avaient choisi des dessous sexy, le plus souvent en forme de string.
Christine se colla à moi, frottant avec insistance son mont de Vénus contre ma braguette. J’observais les gens autour de nous. Ceux qui étaient sur la piste flirtaient outrageusement. Tous les hommes avaient les mains sous la jupe ou la robe de leur partenaire. Certains avaient carrément remonté le tissu et exhibaient les fesses de ...
... leur cavalière. Ceux qui étaient assis se régalaient du spectacle. Bientôt il y eut des caresses d’un couple à l’autre. Celles qui avaient les fesses dénudées attiraient les mains des danseurs voisins, hommes ou femmes. Certains danseurs se rapprochaient aussi des personnes assises, qui n’étaient pas les dernières à peloter les rondeurs qui s’offraient à leur portée. En regardant mieux, je vis que certaines femmes avaient même sorti la verge toute bandée de leur cavalier et les masturbaient doucement en dansant. J’aperçus Marlène. Son cavalier l’avait dépouillée de sa robe et elle dansait nue contre lui. Lorsqu’elle se tourna à demi, je vis qu’elle tenait dans la main une bite énorme. Elle était longue et d’un diamètre inhabituel. Il était sacrément monté, le maigrichon ! Quel que soit l’endroit où il comptait la lui mettre, elle allait le sentir passer ! Pour le moment, il cherchait à la faire agenouiller, sans doute pour qu’elle le suce. Mais elle résistait, secouant la tête en signe de protestation.
J’avais moi-même passé les mains sous la jupe de ma cavalière pour lui caresser le minou et plonger mes doigts dans sa moule. Puis passant à l’arrière, je soulevai sa jupe et je dévoilai ses jolies fesses. Très vite, une autre main rejoignit la mienne, et un autre couple fut tout contre nous.
— Alors les jeunes, on nous oublie ?
Charles-Henri dansait avec Béatrice. Ils nous avaient rejoints. Il avait lui aussi dénudé les fesses de sa cavalière et me les offrait en ...